Sans compter que l'élevage (plutôt extensif il est vrai) entretient des km2 de territoire, qui seraient inexploitables en culture : foins et pâturages façonnent nos paysages. Ou alors on vit dans des plaines de patates et des collines de taillis infranchissables.
Comme dit Tonya, tout est histoire de compromis, d'équilibre.
Et puis là on vient à un débat "t'aimes ta vache ou t'aimes ton steak ?" ... moi je veux bien que l'on mange tous la salade sans le steak mais on pourra alors débattre de notre amour envers la salade et plus généralement envers notre vieille Terre.
A partir du moment où il y a production, il y a exploitation.
Produire des salades, ça use des ressources, et les traitements usités ne sont pas anodins.
Sans parler que l'on n'a aucun recul sur l'usage à grande échelle de produits "bio", peut-être très naturels mais aussi très toxiques. Les poisons les plus virulents sont dans la nature.
Bref de la mesure dans toute chose