La (non) maternité, un choix individuel

 Répondre au sujet
Page(s) : 1 ... 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 ... 131
Auteur
140734 vues - 1953 réponses - 6 j'aime - 47 abonnés

Joual

Compte supprimé


La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 11/12/2021 à 15h12

Bonjour à toutes (et tous).

Je me pose beaucoup de questions sur le fait d'avoir ou non un enfant par jour.
Du coup, je me disais que j'allais faire un petit sondage sur ce forum.
Alors c'est parti pour une petite étude sociologique.

Ce post s'adresse à toutes les femmes quelque soit leur choix sur la maternité/non maternité.

Pour que les expériences de chacun sur quelque chose d'aussi intime et puissant qu'impose ce choix d'avoir ou non des enfants, j'espère que chacune restera cordial vis à vis du choix de "l'autre camp".
Pas de phrase du style:
"Je n'ai pas d'enfant car ça ne sert à rien."
"On ne devient une vraie femme que lorsque on devient mère".

Pour aiguiller les témoignages vous pouvez répondre à ces questions ou dire ce qui vous passe pas la tête. J'ai essayé de faire des questions qui vont aussi bien pour les chilfree que les mamans.

"Le choix"
- avez vous toujours eu envie / pas envie d'un enfant?
- êtes vous restez sur votre choix initial ou avez vous changé au cours de votre vie?
- si il y a eu changement, pour quel raison est il intervenu (une rencontre, un contexte ...)?
- si il y a eu changement, à quel âge ?
- êtes vous satisfaite de votre choix ou avez vous des regrets ?
- savez vous expliquer pourquoi vous vouliez/ne vouliez pas d'enfant? Était ce une (non) envie viscérale ou êtes ce sur des choix objectifs?
- avez vous toujours été en accord avec vos partenaires sur vos choix?
- si c'était à refaire, vous referiez tout pareil?

Pour les femmes étant mère:
- pourquoi avoir choisi d'avoir un, deux, trois ou plus d'enfants?
- pensez vous que les enfants sont arrivés au bon moment? C'est quoi le "bon moment"?
- que sont devenues vos passions?

Je suis complètement perdue sur mon envie / absence d'envie de maternité du coup, des témoignages seront les bienvenus pour éclairer mon point de vu.

Gobi

Membre ELITE Or
 

Trust : 350  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 9737
3 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h17

beabcr

je crois pas qu'il soit question de "vraie vie" sans enfant. juste de dire que vivre sa vie entière sans enfant ce n'est pas comme vivre 10 ans ou 20 ans de ta vie d'adulte femme sans enfant. Tu es juste intrinsèquement différente à partir du moment où tu as des enfants et tu ne peux pas préjuger de ce qu'il en aurait été pour toi sans enfant en te basant sur ce que tu as vécu/tu as été avant d'en avoir.

Beabcr

Membre ELITE Or

Trust : 480  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 9189
0 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h19

gobi non, on est d'accord, tout comme on ne peut pas présumer de ce que ça serait de ne jamais avoir d'enfant. Y a qu'une fois dans la tombe qu'on peut savoir en fait.

Couagga

Membre ELITE Or
  

Trust : 152  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 12659
1 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h19

peechy

la plupart n'ont pas complétement fermée la porte justement.

Édité par couagga le 14-12-2021 à 14h32



Argamelle

Membre ELITE Argent

Trust : 1299  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 7610
7 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h21


peechy a écrit le 14/12/2021 à 14h11:
@couagga

Je n'en serais pas aussi sûre... Il y a déjà pas mal de témoignages, rien qu'ici, où certaines disent qu'elles ne voulaient pas forcément d'enfants mais quand elles ont rencontré LE gars, leur avis a changé


J'ai rencontré LE gars je ne vois pas dans quelle mesure il aurait pu plus me convenir et je n'ai rien, mais alors rien, à lui reprocher, d'aucune sorte. Et je ne veux quand même pas d'enfant. Donc ça arrive aussi, les certitudes absolues

Couagga

Membre ELITE Or
  

Trust : 152  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 12659
5 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h27

beabcr


Citation :
Fatalement, si on enlève cette expérience, il en reste peu (ou peu d'accessibles) qui vont rivaliser en termes de chamboulement. Donc en fait la vie " ne changerait pas tant que ça ". Un autre lieu de vie ? Un autre travail ? Une autre hygiène de vie ? Rien qui n'ait jamais été possible de tenter avant de faire des enfants...
.

ceci montre à quel point nous ne parlons pas de la même chose. Je trouve ta vision de la vie sans enfant tellement pauvre, avec peu d'alternative et sans rapport avec ce que je vis
ça illustre totalement ce que j'exprimais en réponse à Elea2008 et je trouve ça très violent.


Citation :
Aucune vie ne se ressemble, mais la vie avec un enfant, c'est la vie avec un enfant, y a forcément des traits communs entre les vies de deux mamans (je dirais même de deux parents plutôt) alors qu'il n'y en a pas forcément entre les vies de deux nullipares.


mais entre nullipares on se trouve énormément des points communs sur ce sujet en fait et notre rapport à la liberté, à la responsabilité et la dépendance d'autrui, aux relations humaines et d'autres sujets qui semblent t'échapper.
Encore une évaluation du sans-enfant carrément violente

Édité par couagga le 14-12-2021 à 14h33



Couagga

Membre ELITE Or
  

Trust : 152  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 12659
3 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h29


beabcr a écrit le 14/12/2021 à 14h19:
@gobi non, on est d'accord, tout comme on ne peut pas présumer de ce que ça serait de ne jamais avoir d'enfant. Y a qu'une fois dans la tombe qu'on peut savoir en fait.


Dans la tombe on est mort et on ne sait plus rien.

Peechy

Membre VIP
 

Trust : 317  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 4287
1 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h30

couagga

C'est pas faux.

argamelle

Ah, ben tu vois, ta réponse me fait plaisir Argamelle J'ai tellement cette impression aujourd'hui que les certitudes n'existent plus, que dès qu'on est sûr de quelque chose, ça sera forcément démenti/contesté... Et j'avoue que c'est un peu déprimant :/

Couagga

Membre ELITE Or
  

Trust : 152  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 12659
6 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h32


peechy a écrit le 14/12/2021 à 14h11:
@couagga

Je n'en serais pas aussi sûre... Il y a déjà pas mal de témoignages, rien qu'ici, où certaines disent qu'elles ne voulaient pas forcément d'enfants mais quand elles ont rencontré LE gars, leur avis a changé


ça signifie que le désir d'enfant est soit inné soit conditionné à une rencontre avec "le bon" mec ?

On peut aussi rencontrer son âme soeur et ne n'avoir ni l'un ni l'autre envie de se reproduire

Argamelle

Membre ELITE Argent

Trust : 1299  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 7610
3 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h38

peechy Je n'ai pas changé cette vision de ma vie depuis que j'ai ... je crois... 10 ans. Ou neuf, un truc comme ça.
Ce jour là j'ai réalisé que je n'étais pas obligée d'avoir un enfant, ça a été genre, une illumination. Et depuis je sais, je ressens une profonde paix à l'idée de ne pas avoir d'enfant. C'est une pensée très réconfortante pour moi.

Kpuch

Membre d'honneur
   

Trust : 277  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 2708
2 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h44

Je me suis longtemps posée la question, et je pensais ne pas vouloir d'enfant. Puis, 2 ans après avoir rencontré mon conjoint actuel, l'envie est venue, sans trop que je sache dire comment... On a mis quasi 4 ans à ce que ça fonctionne, entre temps on m'avait dit que j'auraid peu de chances et que je ne serais pas éligible à la PMA, alors que l'envie d'avoir un enfant devenait viscérale. Je suis donc passé par toutes les phases de non-envie / envie d'enfant. Je suis tombée enceinte l'an dernier, j'ai monté à cheval toit le 2eme trimestre, (juste je m'interdisais de sauter). Je suis maman d'un petit garcon depuis mars. Il est là prunelle de mes yeux, mon rayon de soleil, mais je ne réalise toujours pas dans mon quotidien que je suis une maman, même presque 9 mois plus tard. Très étrange sensation !
Je m'en occupe du mieux que je peux, son rire fait bondir mon c?ur (mais les henissements enthousiastes de mon cheval quand j'arrive aussi, c'est très bizarre mais c'est ainsi).
Depuis sa naissance mon organisation est millimètree pour parvenir à aller nourrir mon cheval, lui faire les soins minimum et le monter 1 à 2 fois par semaine.
J'ai change d'entreprise pour pouvoir tout caser dans mon timing, je suis passé d'un temps plein de 39h à un temps plein de 34h. Je finis plus tôt le mardi soir pour aller monter mon loulou, mon conjoint. Va chercher ce soir la notre bébé chez la nounou, et j'ai 1/2 journée de repos le jeudi aprem ou j'ai un cours avec mon cheval et j'ai juste le temps quand c'est fini de courir chez la nounou récupérer mon fils... Parfois ce cours du jeudi doit sauter pour cause de rdv médecin ou autre non déplaçable.
Je vis à 1000 à l'heure pour réussis à tou rentrer et je culpabilise un peu pour poney de moins passer de temps avec lui qu'avant. Le week-end j'ai mon fils emmitoufle dans le porté-bébé pour aller nourrir les chevaux de la pension... Le plus compliqué c'est les apéro au poney qui sautent parfois (parfois aussi mon conjoint a gardé le petit, on se relaie en fin de compte) , mon cours de travail a pied le mercredi soir qui a saute car à 19h c'est bain + dîner + bercage du bébé donc pas compatible... Je travaille de temps en temps à pied avec le minus en porte-bébé le dimanche ou on fait balade à pied avec bébé + chienne + cheval le dimanche... Parfois, ça fait du bien à nos chevaux aussi de faire du "rien".
J'ai mis entre parenthèse les sorties en TREC que je faisais, ça reviendra quand bébé sera plus grand, comme dit, c'est une période...
Bon on va pas se mentir, je suis épuisée par ce rythme effréné et j'ai du mal à tout gérer et à ne pas oublier certains trucs, je culpabilise sans cesse soit pour le poney, soit pour mon bébé, mais au final je sais que je me donne au max pour chacun et que je ne suis pas surhumaine...
En revanche, si je ne regrette absolument pas d'avoir mon fils, ça n'a pas été abordé je crois, mais je n'en veux pas d'autre... Et ça aussi c'est tabou de le dire, 1 seul n'est pas non plus accepté dans la société... Mais notre vie a 3 + mes partenaires animaux me convient très bien et est déjà complètement remplie, ajouter un autre enfant "parce qu'il faut" ne me fait pas du tout rêver... Voilà pour mon témoignage

Argamelle

Membre ELITE Argent

Trust : 1299  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 7610
20 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h49


kpuch a écrit le 14/12/2021 à 14h44:
Je finis plus tôt le mardi soir pour aller monter mon loulou, mon conjoint.


Je suis désolée, c'est trivial, mais l'erreur de ponctuation m'a bien fait rire

Peechy

Membre VIP
 

Trust : 317  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 4287
1 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h52

couagga

Ah non du tout, ce n'est pas ce que je voulais dire. C'était juste un constat. Je suis bien d'accord avec ta deuxième phrase Et c'est pour ça aussi que je trouve chouette la réponse d'Argamelle :D

Tiama

Membre d'honneur
  

Trust : 171  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 2020
6 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 14h56

Je me permets d'apporter ma petite pierre à l'édifice

Pour ma part je n'ai jamais voulu d'enfant, et n'en ait pas aujourd'hui à 33 ans, bien qu'en couple depuis 9 ans avec la même personne (je vous vois venir les "tu n'as peut être pas rencontré le bon ?" ).
Quand j'étais petite (moins de 10 ans) et que mes parents me demandaient ce que je voulais faire plus tard je répondais que je voulais vivre dans une ferme (oui j'aimais déjà beaucoup les animaux !) sans mari et sans enfants
Bon j'ai changé d'avis pour le sans mari ... mais pas pour les enfants.

C'est un choix assez évident pour moi de ne pas avoir d'enfants car je n'ai tout simplement pas d'affinités avec. Je suis bien plus touchée par un chaton ou un chiot que par un bébé, allez savoir pourquoi ...
Par contre je suis complètement fan de mon neveu de 3 ans que je trouve teeeeeellement mignon et craquant, comme quoi
Je crois que j'ai aussi appris à prendre mes distances avec les enfants car j'ai de très mauvais souvenirs de réflexions qui m'ont toujours profondément dérangée comme "tu en voudrais un comme ça toi aussi ?" ou des "alors, c'est pour quand ?" et autres intrusions dans ma vie privée. Ce genre de phrases me choque vraiment énormément, c'est dire implicitement à l'autre que c'est une évidence d'avoir des enfants et qu'aucun autre choix n'est valable.

A cette non envie s'ajoute aujourd'hui le fait que je ne souhaiterai pas à qui que ce soit de grandir dans un monde comme le notre, dans lequel on voit la planète se dégrader à vitesse grand V. D'ailleurs je suis souvent scandalisée de voir que des jeunes parents se préoccupent si peu de l'environnement dans lequel leur enfant va grandir

Concernant mon partenaire il s'est toujours imaginé avec des enfants sans pour autant en avoir envie aujourd'hui. Il faut dire qu'il a grandi dans une famille nombreuse et pour lui ça fait partie de la normalité d'avoir un jour des enfants. Il est au courant que je n'en ai pas envie et, pour l'instant en tout cas, cela nous convient à tous les 2.

J'avoue que j'ai peur de regretter plus tard, mais je me refuse à faire des enfants par simple peur de l'avenir ou par convention sociale. Quand j'entends encore des arguments comme "mais si tu n'as pas d'enfants, qui va s'occuper de toi sur tes vieux jours ?" j'hallucine complètement.

Édité par tiama le 14-12-2021 à 14h58



Tsumughi

Membre d'honneur
 

Trust : 172  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 1882
1 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 15h04

argamelle Je rejoins ce que tu disais pour les personnes qui regrettent, et je pense à un cas en particulier, d'une personne qui était sur le sujet des futures mamans.
Qui est tombée enceinte, et qui s'est effondré quand les filles du post lui ont annoncé que monter à cheval tous les soirs et être en compet tous les week-ends, ça allait être complexe.
Personne qui est parti en disant que son futur enfant allait lui gâcher la vie.
Si tu te reconnais, que tu passes ici, ton cas m'a beaucoup marqué depuis le sous-marin, et si tu veux bien donner ton avis, je serais ravie de le lire.

Elea2008

Membre ELITE Argent

Trust : 669  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 7902
8 j'aime    
La (non) maternité, un choix individuel
Posté le 14/12/2021 à 15h13

couagga
(pour poursuivre notre échange qui remonte déjà à quelques pages)
Ma réponse à Tam, que tu cites, rebondissait sur le message précédent, donc en effet je n’ai pas re-précisé tout ce que je venais d’écrire concernant le rapport global au changement, et le fait que ça n’était pas spécifique à l’enfantement, car cela aurait été redondant.

Par contre, j’ai bien écrit dans le passage que tu mentionnes que le message de lanamour ne conforterait que ceux qui ne voulaient pas d’enfant par peur des changements dans leur vie.
Ce qui implique qu’il y a tous les autres, qui ne veulent pas d’enfants pour plein d’autres raisons, et que ce message ne va conforter dans rien du tout parce qu’il n’a rien à voir avec leurs raisons et ressentis.

En fait, je voulais juste dire que je ne partageais pas la vision de tam sur la lecture des messages de lanamour (ou d’autres sur ce post) : qu’on veuille des enfants ou pas, qu’on ait des enfants ou pas, un message qui annonce des bouleversements peut aussi bien nous attirer, nous donner envie de tenter l’expérience décrite, que nous faire fuir. C’est tout.
Je ne sais pas si c’est plus clair comme ça.

Encore une fois, je n?ai jamais présenté la maternité comme une forme d?accomplissement.
Au contraire, je suis plutôt du genre à penser que toute forme d?injonction ou de jugement, dans un sens ou dans l?autre, ne concerne que celle ou celui qui l?émet, et que globalement le meilleur moyen d?être « accompli » dans la vie c?est d?essayer d?être le plus en accord avec ce qu?on ressens, enfantement compris.

D?ailleurs moi-même je ne me sens pas plus accomplie parce que j?ai des enfants : je ne suis pas que mère, ça fait partie de moi mais ça ne me définit pas, et je pense que si la nature ou les hasards de la vie avaient fait que je n’ai pas d’enfant, j?aurais tout autant été moi-même, j’aurais tout autant œuvre à mon accomplissement, juste j?aurais pris des chemins différents.

Après, pour ce qui est du poids du jugement social sur le non-désir de maternité, je ne doute pas qu’il est lourd.
Mais quand tu es mère, tu portes aussi le poids du jugement de tout ceux qui pensent que c’est de l’égoïsme/de l’inconscience sociale et écologique de faire un enfant de nos jours et qui t’accusent d’être responsable des maux de la terre.
Bah, ok c’est une opinion qui en vaut une autre, elle ne me touche pas plus que ça parce que, encore une fois, je pense que les jugements, quels qu’ils soient, ne parlent que de ceux qui les émettent.

Édité par elea2008 le 14-12-2021 à 15h18



Page(s) : 1 ... 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 ... 131
La (non) maternité, un choix individuel
 Répondre au sujet