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Le talent excuse t-il tout?
Posté le 02/07/2013 à 16h07
L’agriculture bio :
Un remède contre notre planète malade… Heu oui, sûrement. Mais je ne crois pas que la culture bio actuel (ni même l’élevage) soit à 100% bio.
La nature ne s’arrête pas au dessus d’un champ de culture en disant ici, je passe ma route, c’est une culture bio. Pas plus que l’abeille qui butine et fertilise les champs, ne s’arrête pas dans un champ de culture non bio, avant de passer dans un champ de culture bio.
Tout le monde, y compris les agriculteurs bio, s’entend au moins pour reconnaître, que tout ce que nous semons dans un champ, fini avec la pluie dans la terre, que de la terre, cela passe dans nos sources naturelles… Et comme les sources, pas plus que les abeilles n’évitent telle culture pour se rendre sur un autre. Alors, les terres bio sont naturellement polluée par les pluies, les sous sol et la terre elle-même. Du coût comme le produit de la culture n’est pas 100% bio, ben l’élevage ne peut, lui non plus être 100% bio.
Maintenant tout dépend de la définition et de ce que vous attendez réellement d’une culture BIO.
L’agriculture bio, les pesticides et les engrais.
Là encore, tout dépend de ce que vous voulez dire par « sans pesticides et sans engrais ». Déjà dans la nature il existe des engrais et des pesticides naturels.
J’en veux pour preuve, que certains « jardinier » produisent des « purins » à partir de plantes sauvages ou pas. Tel que le purin d’orties, qui si utilisé pure ou non, sera un excellent désherbant « naturel » un pesticide « naturel » ou encore un engrain « naturel ».
Donc venir dire qu’il n’y a pas de pesticides ou d’engrais dans la culture bio est faut, surtout comme je l’ai dit plus haut, ben la nature ne s’arrête pas au dessus dans un champ de culture pour passer au suivant.
L’eau est polluée ?
C’est toute la planète qui l’est, pas seulement l’eau potable, ou l’eau des sources, des lacs, des rivières. La mer est polluée, la terre est polluée, l’aire elle-même est polluée.
Si l’homme n’était pas si suffisant, si imbus de sa personne et de son pouvoir, il se remettrait en cause. Il est « gourmand » de tout. Il se goinfre de tout et pour satisfaire cette boulimie, il produit de tout en masse et sans aucune mesure. Même une agriculture bio, non gérée en fonction de la nature, va nuire à cette nature. Car elle sera contraire au cycle naturel de la nature.
Si nous mangions plus ou moins de viande, et produisions plus de « céréales » d’autre pourrait mangeait aussi : Vrai ou Faux ?
Alors là…. Heu je vois pas comment cela aurait un effet sur d’autres pays ou région.
D’après certains pro végéta*ien, le fait de ne plus produire et donc consommer de viande, serait d’ailleurs une solution pour d’autres peuples, et permettrait qu’ils se nourrissent correctement.
D’après certains pro végéra*ien, c’est à l’homme aujourd’hui de décider que telle ou telle espèces (domestiqué pour la consommation ou autres) devenu inutile doit être « éliminée » de l’équation, ce qui permettrait de régler pas mal de soucis. Surtout d’espace, puisque si on ne consomme plus le bétail, il faut plus de culture et donc, il faudra prendre les pâturages pour en faire des champs de culture. (mais il va falloir faire une étude sérieuse pour savoir qu’elle espèce doit être éliminé et quelle espèce « qui encore pouvoir servir) doit être préservé.
Tout cela moi, me dit, que nous allons là devant une culture intensive pour compenser nos besoins, et que du coût c’est encore la planète qui va trinquer. Tout cela ne me dit pas, par contre, en quoi cela va aider d’autres pays ou continents.
Certes, certains pays souffrent du mal de la planète (de la pollution) mais pour d’autres, c’est justement le déboisement (arbres ou même de certaines plantes) pour la culture, qui est la cause de l’avancer du désert ou du mal de la terre.
Dans le désert, pour avoir retirer des plantes qui retenait des dunes, on a permis au sable d’envahir les zones cultivables. Dans d’autres régions en coupant les arbres pour la culture, on a permis, lors de tempête au vent de supprimer la couche de terre qui permet la culture, ou à l’eau de faire partir cette couche de terre nécessaire pour permettre la culture.
On retiendra d’ailleurs que certains pays on un surplus de production de céréales, mais cela n’aide pas les pays qui n’ont pas les moyens de payer pour avoir ces céréales. Il s’agit donc pour certains pays, d’un problème financier aussi (hélas).
De plus, comme dit plus haut, pour compenser le retrait de la viande de notre alimentation, il faut compenser par une plus grande quantité de consommation de légumes, fruits et céréales. Donc ce que nous produirons en plus, ce sera pour nous avant tout.
Et si l’on y ajoute, une culture biologique, respectueuse du cycle naturelle de la terre et des besoins de celle-ci pour continuer de produire sans pesticides ou engrais (non naturelle) alors je vois pas comment en l’état actuelle, la solution serait que toutes les cultures deviennent bio et les humains végéta*iens.
Il faut être lucide, l’homme est gourmand de tout, mais il est aussi lui-même trop nombreux.
Maintenant je respecte les choix de certains de devenir végétarien ou végétalien, je respecte celui qui prône et ne jure que par la culture ou l’élevage bio.
La solution existe sûrement, mais ce n’est sûrement en imposant une idée, un concept, que l’on trouvera de quoi équilibré les besoins de tous.
Si tous les hommes pouvaient commencé par se remettre en cause individuellement, par rééquilibré ses besoins… alors les choses commenceraient sûrement à changer et à retrouver un équilibre.
Seulement avant de préconiser une sélections parmi les autres espèces sur cette planète, l'homme ferait bien de se rappeler qu'll est l'espèce qui a l'explosion démographique la plus importante. Et les stats ne vont pas en nous annonçant un ralentissement. Plus nous seront nombreux, plus il faudra produite, ici ou ailleurs, pour nous nourrir. Il faudrait peut-être que l'homme se penche sur le sujet avant de préconiser l'élimination d'autres espèces par ce qu'elles ne lui sont plus utiles ou par ce qu'il à besoin de place