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Charlyserre

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Posté le 08/05/2014 à 01h02

Bonjour, ou Bonsoir suivant l'heure à laquelle vous lisez ce post.


Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour mes éventuelles fautes d'orthographe.
Sachez que je fais mon maximum pour les réduites le plus possible.

Voilà, je ne pense pas qu'il y ait un post similaire à celui-ci ( ma fonction recherche, enfin internet, déconne chez moi, alors je m'excuse s'il existe un autre post )

Étant une adepte de l'écriture, et je ne pense pas être la seule.
J'adore écrire des textes, plus ou moins long et même parfois des citations.
Malheureusement, je ne les fais pas partagez avec mes proches ( seulement sur ma page, concernant ma chienne ) car j'ai peur de leurs avis.

Alors, je vous propose, grand "écrivain" ou simple personne ( j'avoue, je n'ai pas trouvé de synonyme ou de mot mieux que celui-ci ) écrivant seulement un ou deux textes par-ci, par-là.
Je vous propose donc, à vous, de faire partager vos textes, vos poèmes, vos nouvelles, vos citations ou autres.

Ainsi, nous, vous, pourrez donner des avis constructifs.

Voilà, me concernant les 90 % de mes textes concernent ma chienne
Cela peut vous paraître stupide mais c'est ma principale inspiration.

Je me permet de vous mettre un de mes récents textes

Certains te qualifieront ...

Tu sais, il ne faut jamais, oh non jamais écouter ce que les gens disent.
Ils critiquent dans ton dos, ils sont hypocrites, ils sont simplement jaloux.

Certains te qualifieront de chien, moi je dirais "meilleurs amie".
Certains te qualifieront de bâtard, moi je dirais que tu es unique.
Certains te qualifieront de petite, moi je dirais que ta taille n'égale pas ta beauté, ton intelligence.
Certains te qualifieront de bête, moi je dirais que tu es l'être le plus intelligent au monde.
Certains te qualifieront parfois d'agressive, moi je dirais que tu te défend.
Certains te qualifieront de mauvais chien de garde, moi je dirais que tu es un chien de berger.
Certains te qualifieront de moche, moi je dirais que tu es plus belle que les 7 merveilles réunis.

N'écoute jamais, jamais les gens.
Ils trouveront toujours quelques choses à rajouter, à juger, à se moquer.
Tu vaut tellement mieux qu'eux.
Passe au dessus des critiques, tu vaux plus que tous ces même personnes réunis.
Je t'aime mon ange, ne l'oublie jamais ma Fibouille <3



Je sais que certains vont sûrement trouver complètement bête ce que je vais dire mais ce texte est dédié à mon adorable chienne, Fiby, qui est l'être le plus important à mes yeux.
Je l'aime plus que ma propre vie.
Cela va probablement vous paraître absurde.

Je suis ouverte à toutes critiques et je vous remercie d'avoir lu mon texte.

Bon, alors, qui sera le/la premier/ère à nous faire partagez ses écrits ?


Merci à vous et je vous souhaite une agréable journée ou soirée.

Edité par charlyserre le 08-05-2014 à 01h14

Ewanae

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Posté le 12/08/2014 à 20h11

Ha ! J’avais pas vu que des gens avaient continué ^^’
Alors Paulimer, tu as un bon potentiel d’écriture je trouve, mais tu devrais faire attention aux répétitions. Je trouve que tu utilises beaucoup trop les prénoms, tu pourrais leur trouver des caractéristique physique pour changer genre « l’adolescente au yeux bleus, » etc, ou comme c’est du point de vu de la première personne un truc un peu plus dans ses modes de pensées genre : « peste », « gosse de riche », etc… Ça mis à part je trouve tes phrases un peu courtes, mais j’ai tendance à faire pareil XD

Indynimbus, j’aime beaucoup ta façon d’écrire. Bon pour toutes les deux j’avoue que j’au survolé ^^’ , mais c’est plaisant. Après je ne suis pas spécialement attirée par les fan fiction donc bon ^^
En tout cas vous écrivez bien \o/

J'ai récris un peu ces derniers temps hors de mon forum rpg, j'essairai de poster ça ^^

Pilouw74

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Posté le 13/08/2014 à 09h19

J'écris depuis quelques années, j'ai toujours trouvé ça très important, j'ai malheureusement eu très peu de temps cette année mais ça reste toujours un plaisir...

Voilà un aperçu ->
http://welovewords.com/wordspace/documents

Et sinon je me suis tournée vers le journalisme, et l'écriture m'a beaucoup aidé dans ce choix

Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 03h10

Bonsoir à tous, alors personnellement, j'écris rarement, et j'abandonne souvent en cours de route. La je commence une petite histoire, et j'aimerais votre avis. Bon j'ai 16 ans, alors le sujet est léger et un peu cul-cul lol
C'est l'histoire d'une jeune fille qui fait n'importe quoi, elle aime s'amuser, et surtout en cours! Ses parents vont donc décider de la mettre dans un internat, et va s'en suivre toute sortes d'aventures :) Je vous met le début, c'est pas fameux, et c'est pour ça que j'aimerais votre avis, merci



Prologue
Alix jeta un coup d’œil anxieux à son camarade de classe. Lui était parfaitement calme, assit sur sa chaise de cours, faisant mine d’écouter ce que le professeur disait. Antoine était plutôt bon à ce jeu, cela lui arrivait si peu , qu’il n’avait pas autant de mal qu’Alix à se concentrer ne serait-ce que quinze minutes. « La fin en justifie les moyens » disait-il souvent, et jamais ce dicton avait pris autant de sens qu’à ce moment précis. Pourtant, Alix sentait mal cette bêtise supplémentaire, il est vrai qu’après les centaines d’autres commises, celle-ci serait peut-être la goutte d’eau qui ferait déborder le vase. Mais tant pis, ça serait la plus drôle qu’ils aient faite, tous les deux ! Et Dieu sait qu’ils en avaient fait, des sales coups.

Ch1
Alix rentra chez elle vers sept heure et demi. Elle poussa la porte d’entrée le plus lentement possible, en prenant garde à ne faire aucun bruit. Un énorme bruit se fit pourquoi entendre, quelqu’un venait de tirer la porte. Ah ! Satanée porte, comment Alix aurait-elle pu essayer de passer inaperçue? Face à elle, son père, furieux, lui indiqua d’entrer, et c’est ce qu’elle fit sans trop d’enthousiasme. Elle s’avança alors dans le salon, pour avoir la joie d’y découvrir sa mère, pas moins furieuse, appuyée sur la table à manger, les bras croisés.
-Où étais-tu ? hurla son père, tout en claquant la porte. Le bruit de grincement suivi de la fermeture fit retentir dans toute la maison un bruit de fracas. Alix ne parvenait pas à trouver d’excuse, cette fois ci.
-J’ai loupé mon bus, avoua-t-elle, tout en caressant le cuir du canapé.
-Mais qu’est ce qui t’as retenu dehors si longtemps Alix… Le fait que ta mère et moi ayons reçu ton bulletin de note, ou le fait que ton proviseur nous ait appelés pour nous spécifier que notre fille ait largué des souris par dizaine dans sa classe ? Sur ces mots, son père déchira le bulletin de notes en mille morceaux, et les jeta comme des confettis de carnaval.
Comment pouvaient-ils déjà être au courant ? Alix se sentait horriblement mal. Elle n’avait pas trainé pour rien finalement, puisque cela lui avait permis d’échapper à ça pendant quelques heures. Confuse, elle emprunta l’escalier en bois, qui ne grinçait pas moins que la porte, et couru se réfugier dans sa chambre. Elle s’assit alors sur son lit, pensant à tout ce qu’il venait de se passer, depuis ce matin, jusqu’à ce moment-là. Elle s’en voulait terriblement, car elle avait eu milles occasions de stopper cette bêtise, mais pourtant elle ne l’avait pas fait. Elle s’était une nouvelle fois laissée entrainer, et elle le savait. Ces bêtises l’entrainaient vers le fond, et elle ne pourrait bientôt plus remonter à la surface, et effacer ses erreurs passées. Elle s’endormit alors, paisiblement, comme si rien ne se passait.


Edité par mllemoi88 le 15-08-2014 à 03h15



Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 14h36

Personne pour moi ?

Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 22h33

Up, désolé mais je tient vraiment à avoir vos impressions lol

Paulimer

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Posté le 15/08/2014 à 22h52


mllemoi88 a écrit le 15/08/2014 à 03h10:
Bonsoir à tous, alors personnellement, j'écris rarement, et j'abandonne souvent en cours de route. La je commence une petite histoire, et j'aimerais votre avis. Bon j'ai 16 ans, alors le sujet est léger et un peu cul-cul lol
C'est l'histoire d'une jeune fille qui fait n'importe quoi, elle aime s'amuser, et surtout en cours! Ses parents vont donc décider de la mettre dans un internat, et va s'en suivre toute sortes d'aventures :) Je vous met le début, c'est pas fameux, et c'est pour ça que j'aimerais votre avis, merci



Prologue
Alix jeta un coup d’œil anxieux à son camarade de classe. Lui était parfaitement calme, assit sur sa chaise de cours, faisant mine d’écouter ce que le professeur disait. Antoine était plutôt bon à ce jeu, cela lui arrivait si peu , qu’il n’avait pas autant de mal qu’Alix à se concentrer ne serait-ce que quinze minutes. « La fin en justifie les moyens » disait-il souvent, et jamais ce dicton avait pris autant de sens qu’à ce moment précis. Pourtant, Alix sentait mal cette bêtise supplémentaire, il est vrai qu’après les centaines d’autres commises, celle-ci serait peut-être la goutte d’eau qui ferait déborder le vase. Mais tant pis, ça serait la plus drôle qu’ils aient faite, tous les deux ! Et Dieu sait qu’ils en avaient fait, des sales coups.

Ch1
Alix rentra chez elle vers sept heure et demi. Elle poussa la porte d’entrée le plus lentement possible, en prenant garde à ne faire aucun bruit. Un énorme bruit se fit pourquoi entendre, quelqu’un venait de tirer la porte. Ah ! Satanée porte, comment Alix aurait-elle pu essayer de passer inaperçue? Face à elle, son père, furieux, lui indiqua d’entrer, et c’est ce qu’elle fit sans trop d’enthousiasme. Elle s’avança alors dans le salon, pour avoir la joie d’y découvrir sa mère, pas moins furieuse, appuyée sur la table à manger, les bras croisés.
-Où étais-tu ? hurla son père, tout en claquant la porte. Le bruit de grincement suivi de la fermeture fit retentir dans toute la maison un bruit de fracas. Alix ne parvenait pas à trouver d’excuse, cette fois ci.
-J’ai loupé mon bus, avoua-t-elle, tout en caressant le cuir du canapé.
-Mais qu’est ce qui t’as retenu dehors si longtemps Alix… Le fait que ta mère et moi ayons reçu ton bulletin de note, ou le fait que ton proviseur nous ait appelés pour nous spécifier que notre fille ait largué des souris par dizaine dans sa classe ? Sur ces mots, son père déchira le bulletin de notes en mille morceaux, et les jeta comme des confettis de carnaval.
Comment pouvaient-ils déjà être au courant ? Alix se sentait horriblement mal. Elle n’avait pas trainé pour rien finalement, puisque cela lui avait permis d’échapper à ça pendant quelques heures. Confuse, elle emprunta l’escalier en bois, qui ne grinçait pas moins que la porte, et couru se réfugier dans sa chambre. Elle s’assit alors sur son lit, pensant à tout ce qu’il venait de se passer, depuis ce matin, jusqu’à ce moment-là. Elle s’en voulait terriblement, car elle avait eu milles occasions de stopper cette bêtise, mais pourtant elle ne l’avait pas fait. Elle s’était une nouvelle fois laissée entrainer, et elle le savait. Ces bêtises l’entrainaient vers le fond, et elle ne pourrait bientôt plus remonter à la surface, et effacer ses erreurs passées. Elle s’endormit alors, paisiblement, comme si rien ne se passait.


J'aime beaucoup, je trouve ça très bien écrit et j'aime bien l'idée.

Tiredaile

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Posté le 15/08/2014 à 22h54

Moi, y a une ou deux expressions, je n'aurais pas écrit comme ça.

Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 22h57


tiredaile a écrit le 15/08/2014 à 22h54:
Moi, y a une ou deux expressions, je n'aurais pas écrit comme ça.
Tu pourrais développer et me dire ce qui ne va pas stp ? J'aimerais vraiment pouvoir m'améliorer.

Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 22h57


paulimer a écrit le 15/08/2014 à 22h52:

J'aime beaucoup, je trouve ça très bien écrit et j'aime bien l'idée.
Merci

Tiredaile

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Posté le 15/08/2014 à 23h03


mllemoi88 a écrit le 15/08/2014 à 03h10:
Bonsoir à tous, alors personnellement, j'écris rarement, et j'abandonne souvent en cours de route. La je commence une petite histoire, et j'aimerais votre avis. Bon j'ai 16 ans, alors le sujet est léger et un peu cul-cul lol
C'est l'histoire d'une jeune fille qui fait n'importe quoi, elle aime s'amuser, et surtout en cours! Ses parents vont donc décider de la mettre dans un internat, et va s'en suivre toute sortes d'aventures :) Je vous met le début, c'est pas fameux, et c'est pour ça que j'aimerais votre avis, merci



Prologue
Alix jeta un coup d’œil anxieux à son camarade de classe. Lui était parfaitement calme, assit sur sa chaise de cours, faisant mine d’écouter ce que le professeur disait. Antoine était plutôt bon à ce jeu, cela lui arrivait si peu , qu’il n’avait pas autant de mal qu’Alix à se concentrer ne serait-ce que quinze minutes. « La fin en justifie les moyens » disait-il souvent, et jamais ce dicton avait pris autant de sens qu’à ce moment précis. Pourtant, Alix sentait mal cette bêtise supplémentaire, il est vrai qu’après les centaines d’autres commises, celle-ci serait peut-être la goutte d’eau qui ferait déborder le vase. Mais tant pis, ça serait la plus drôle qu’ils aient faite, tous les deux ! Et Dieu sait qu’ils en avaient fait, des sales coups.

Ch1
Alix rentra chez elle vers sept heures et demi. Elle poussa la porte d’entrée le plus lentement possible, en prenant garde à ne faire aucun bruit. Un énorme bruit se fit pourquoi pourtant entendre, quelqu’un venait de tirer la porte. Ah ! Satanée porte, comment Alix aurait-elle pu essayer de passer inaperçue? Face à elle, son père, furieux, lui indiqua d’entrer, et c’est ce qu’elle fit sans trop d’enthousiasme. Elle s’avança alors dans le salon, pour avoir la joie d’y découvrir sa mère, pas moins furieuse, appuyée sur la table à manger, les bras croisés.
-Où étais-tu ? hurla son père, tout en claquant la porte. Le bruit de grincement suivi de la fermeture fit retentir dans toute la maison un bruit de fracas. Alix ne parvenait pas à trouver d’excuse, cette fois ci.
-J’ai loupé mon bus, avoua-t-elle, tout en caressant le cuir du canapé.
-Mais qu’est ce qui t’as retenu dehors si longtemps Alix… Le fait que ta mère et moi ayons reçu ton bulletin de note, ou le fait que ton proviseur nous ait appelés pour nous spécifier que notre fille ait largué des souris par dizaine dans sa classe ? Sur ces mots, son père déchira le bulletin de notes en mille morceaux, et les jeta comme des confettis de carnaval.
Comment pouvaient-ils déjà être au courant ? Alix se sentait horriblement mal. Elle n’avait pas trainé pour rien finalement, puisque cela lui avait permis d’échapper à ça pendant quelques heures. Confuse, elle emprunta l’escalier en bois, qui ne grinçait pas moins que la porte, et couru se réfugier dans sa chambre. Elle s’assit alors sur son lit, pensant à tout ce qu’il venait de se passer, depuis ce matin, jusqu’à ce moment-là. Elle s’en voulait terriblement, car elle avait eu milles occasions de stopper cette bêtise, mais pourtant elle ne l’avait pas fait. Elle s’était une nouvelle fois laissée entrainer, et elle le savait. Ces bêtises l’entrainaient vers le fond, et elle ne pourrait bientôt plus remonter à la surface, et effacer ses erreurs passées. Elle s’endormit alors, paisiblement, comme si rien ne se passait ne s'était passé.



je 'es écrit en couleur, les expressions dont je parle dans le message précédent. A part ce détail, je trouve ça bien. Plutôt pour un public jeune.
Conclusion, j'aime et j'attends la suite.

Edité par tiredaile le 15-08-2014 à 23h08



Mllemoi88

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Posté le 15/08/2014 à 23h11


tiredaile a écrit le 15/08/2014 à 23h03:


je 'es écrit en couleur, les expressions dont je parle dans le message précédent. A part ce détail, je trouve ça bien. Plutôt pour un public jeune.
Conclusion, j'aime et j'attends la suite.
Pour le pourquoi au lieu de pourtant, c'est simplement une maladresse, j’étais fatiguée surement lol :')
Merci, je continuerais :)

Mllemoi88

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Posté le 16/08/2014 à 19h41

Je vous remet tout depuis le début, et je tient à préciser que le chapitre 5 n'est pas fini ! :)

Prologue
Alix jeta un coup d’œil anxieux à son camarade de classe. Lui était parfaitement calme, assit sur sa chaise de cours, faisant mine d’écouter. Antoine était plutôt bon à ce jeu, cela lui arrivait si peu, qu’il n’avait pas autant de mal qu’Alix à se concentrer ne serait-ce que quinze minutes. « La fin en justifie les moyens » disait-il souvent, et jamais ce dicton avait pris autant de sens qu’à ce moment précis. Pourtant, Alix sentait mal cette bêtise supplémentaire, il est vrai qu’après les centaines d’autres commises, celle-ci serait peut-être la goutte d’eau qui ferait déborder le vase. Mais tant pis, ça serait la plus drôle qu’ils aient faite, tous les deux ! Et Dieu sait qu’ils en avaient fait, des sales coups.

Ch1
Alix rentra chez elle vers sept heure et demi. Elle poussa la porte d’entrée le plus lentement possible, en prenant garde à ne faire aucun bruit. Un énorme bruit se fit pourtant entendre, quelqu’un venait de tirer la porte. Ah ! Satanée porte, comment Alix aurait-elle pu essayer de passer inaperçue? Face à elle, son père, furieux, lui indiqua d’entrer, et c’est ce qu’elle fit sans trop d’enthousiasme. Elle s’avança alors dans le salon, pour avoir la joie d’y découvrir sa mère, pas moins furieuse, appuyée sur la table à manger, les bras croisés.
-Où étais-tu ? hurla son père, tout en claquant la porte. Le bruit du grincement suivi de la fermeture de l’entrée fit retentir dans toute la maison un bruit de fracas. Alix ne parvenait pas à trouver d’excuse, cette fois ci. Elle s’écroula dans le canapé pour mieux réfléchir.
-J’ai loupé mon bus, avoua-t-elle, tout en caressant le cuir du canapé.
-Mais qu’est ce qui t’as retenu dehors si longtemps Alix… Le fait que ta mère et moi ayons reçu ton bulletin de note, ou le fait que ton proviseur nous ait appelés pour nous spécifier que notre fille ait largué des souris par dizaine dans sa classe ? Sur ces mots, son père déchira le bulletin de notes en mille morceaux, et les jeta comme des confettis de carnaval.
Comment pouvaient-ils déjà être au courant ? Alix se sentait horriblement mal. Elle n’avait pas trainé pour rien finalement, puisque cela lui avait permis d’échapper à ça pendant quelques heures. Confuse, elle emprunta l’escalier en bois, qui ne grinçait pas moins que la porte, et couru se réfugier dans sa chambre. Elle s’assit alors sur son lit, pensant à tout ce qu’il venait de se passer depuis ce matin, jusqu’à ce moment-là. Elle s’en voulait terriblement, car elle avait eu milles occasions de stopper cette bêtise, et elle ne l’avait pas fait. Elle s’était une nouvelle fois laissée entrainer, et elle le savait. Ses bêtises l’entrainaient vers le fond, et elle ne pourrait bientôt plus remonter à la surface, et effacer ses erreurs passées. Elle s’endormit alors sans avoir mangé, paisiblement, comme si rien ne s’était passé.

Le lendemain matin, elle croisa Antoine dans les couloirs. Elle lui en voulait autant qu’elle s’en voulait pour ce qu’il s’était passé hier matin. Ils y étaient tout les deux pour quelque chose, mais il faut dire qu’il l’avait poussée, et qu’Alix était plutôt influençable. Pourtant, en le voyant, elle ne put s’empêcher de lui esquisser un sourire. Puis elle disparut, entre le dédale de murs et de salles de classe. Antoine semblait déçu qu’elle ne soit pas venue le voir. Mais Alix était pressée, il fallait au plus vite qu’elle se rende chez le proviseur. Elle était convoquée à la première heure, elle l’avait appris par ses parents. Ils lui avaient laissé un mot sur la table, avec un verre de jus d’orange et un petit déjeuner, avant de partir au travail. Ils semblaient lui avoir déjà pardonné son incartade de la veille. En tout cas, elle l’engloutit sans hésiter.
CH2
C’est sans surprise qu’elle découvrit qu’Antoine avait été convoqué à la même heure qu’elle. Il se tenait à côté de la porte, appuyé contre le mur.
-Salut… Tu m’as envoyé des SMS hier soir ? Je suis désolé, mes parents m’ont pris mon téléphone, avoua Antoine, un peu honteux. Alix esquissa un petit rire, comme si elle venait d’avoir une petite victoire personnelle. A vrai dire, elle était plutôt contente de ne pas être la seule à s’être fait gronder.
-Je ne t’en ai pas envoyé, cracha Alix. Alors comme ça, tu te fais engueuler, toi ?
-Ouais…
Antoine n’avait pas vraiment terminé de parler. Il n’avait pas d’autre choix que de s’interrompre. Le proviseur avait ouvert la porte, et il se tenait là, imposant et en colère. La lumière qui jaillissait de son bureau lui faisait contre-jour, lui donnant un air encore plus sombre et plus en colère. Mais si Antoine commençait à être un peu stressé, Alix se sentait parfaitement bien, elle était confiante. Elle savait pertinemment comment tout cela allait se dérouler. Elle entrerait, M.Turbond lui ferait quelques réflexions sur son comportement, puis elle ressortirait sans aucune punition, si ce n’est quelques heures de colle. C’est comme ça que cela se passait, d’habitude.
Le proviseur les fit entrer dans le bureau lumineux, et ils s’assirent tous les deux à leur place respective, face à la chaise rouge écarlate du proviseur, pour l’instant vide, séparée d’eux par le grand bureau. Contre toute attente, celui-ci claqua la porte avec une violence telle, que les murs se mirent à trembler. Alix avait rivée son attention sur un petit porte-photo, qui sous le choc tomba à la renverse. Elle regarda Antoine, et il ne semblait pas plus sûr de lui qu’elle ne l’était à ce moment. Elle avait perdu toute sa confiance, acquise un peu plus tôt, dans le couloir.
-Alors, jeunes sauvage ? Qu’avez-vous encore fait, qui ai pu vous amener ici ? Siffla-t-il, avec un rictus non mécontent. Des sauvages, voilà comment il appelait les élèves incapables de bien se tenir en cours, ce qui lui valait bien des moqueries. Alix se contenta alors de se taire, et c’est Antoine qui prit la parole, en se débrouillant comme il pouvait pour atténuer les faits, et trouver une explication valable concernant le lâché de souris dans la classe. Sauf qu’en toute logique, il n’y en avait pas, et qu’Alix ne l’aidait pas vraiment. Elle avait peur, et se contentait d’appuyer les propos par des hochements de tête, qui passaient sûrement inaperçus. Mais cela ne suffit pas. M.Turbond se mit à hurler, il bondit de sa chaise en vociférant des choses incompréhensibles. Une chose était sûre, il n’était vraiment pas content. Le sermon dura une bonne trentaine de minutes. Alix s’était habitué aux cris de M.Turbond, et s’était mise à penser à autre chose. Elle se demandait principalement quelle allait être la sanction. Puis un calme plat se fut, et le porte-photo sur lequel Alix avait fixé son regard depuis un bon pour de temps se retrouva écrasé sous une des chaussures cirée de M.Turbond. Alix releva tout doucement les yeux pour découvrir l’homme devant elle, sans qu’elle ne sache trop quoi lui dire. Voyant son manque de réaction, ce fût le proviseur qui prit la parole, sans tarder.
-Pourriez-vous répéter la dernière phrase que j’ai dite, s’il vous plait ? L’interrogea-t-il. Mais Alix était incapable de répondre, elle n’écoutait pas. Le proviseur continua donc son discours à l’attention d’Alix pendant une bonne vingtaine de minute, tout en marchant de long en large dans la pièce, saisissant tantôt un stylo, tantôt une figurine, qu’il regardait avec beaucoup d’attention tout en continuant à parler, puis qu’il reposait comme si elle ne l’intéressait plus, tout à coup. Alix observait son petit manège, sans plus écouter son discours qu’elle n’avait écouté son sermon. Mais les derniers mots du proviseur alarmèrent un peu plus Alix.
-Définitivement ? Comment ça ? Cria-t-elle, affolée et au bord des larmes. Je sais bien que nous y sommes allés un peu fort ce coup-ci, mais… Alix n’eut pas le temps de finir sa phrase que le proviseur la coupa déjà, pour confirmer ce qu’elle venait d’entendre. Elle était renvoyée définitivement de son lycée. Elle prit son sac, sans se préoccuper de rien, passa la porte et quitta la pièce clarteuse pour entrer dans l’obscurité du couloir, éclairé par quelques lampes seules. Là, elle se mit à marcher très vite, à respirer très fort, puis à courir, le plus vite possible, bousculant les gens qu’elle croisait sur son passage. Au bout de quelques pas, Antoine l’avait déjà rattrapé.
-Mes parents vont me tuer, lâcha-t-elle dans un sanglot. Elle n’était pas capable d’en dire plus. Son cœur se serrait et se relâchait, comme si il voulait la quitter maintenant. Alix sentait la moindre palpitation de son cœur, la moindre goutte de sang qui coulait dans ses veines, et tout ça lui faisait atrocement mal. Elle se laissa alors glisser contre le mur et pris sa tête entre ses mains, elle avait arrêté de courir depuis bien longtemps. Anthony la prit dans ses bras.
-Je sais, je suis désolé, j’aurais dû te raisonner, je n’aurais même pas dû te proposer cette idée, ni te pousser à faire quoi que ce soit. Je suis désolé, avoua-t-il. Antoine avait l’air sincèrement amer de ce qu’il venait de se passer, mais après tout, lui aussi était renvoyer, ses parents aussi allait le tuer, cela aurait tout simplement relevé du miracle s’il était sorti heureux de cet entretien horrible. Alix ne répondit pas, elle préféra se lever et marcher. Ce fut une mauvaise idée. Après quelques pas difficiles, elle s’évanouie.
CH3 :
Quand elle se réveilla, Alix se trouvait dans une chambre blanche. Totalement blanche. Elle reconnut vite une des chambres de l’infirmerie de son lycée, et elle détestait par-dessus tout y être. L’odeur était étrange dans les locaux de l’infirmerie. Ça sentait le propre et le moisi à la fois, ainsi que le neuf, la peinture et le savon. De plus, les lits étaient durs, et les draps semblaient ne jamais être lavés. L’infirmière entra dans la chambre, sans aucune gêne. Alix se mit assise dans le lit, non sans mal. Sa tête tournait, elle était dans le gaz. En regardant l’horloge en face d’elle, Alix se rendit compte que l’heure avait énormément changée depuis qu’elle s’était évanouie. Il était déjà quinze heures, et Alix n’avait aucune idée de ce qu’elle avait pu faire pendant tout ce temps. Visiblement, elle avait dormit. Sauf qu’elle ne voyait vraiment pas pourquoi son sommeil n’avait pas suscité d’inquiétude de la part de l’infirmière, elle avait tout de même dormit près de six heure !
-Alix, tes parents sont là, lâcha-t-elle froidement.
Cela ne lui ressemblait pas, Madame Husson était habituellement quelqu’un de très chaleureux. Bon… C’était peut-être un mauvais jour pour elle, cela arrive à tout le monde, après tout. L’infirmière sortit alors, et laissa place aux parents d’Alix. Habillés tous deux de noir, ils entrèrent main dans la main, comme pour se soutenir dans une épreuve.
-Ma chérie… Ton père et moi avons décidé… quelque chose. Lâcha-t-elle dans un sanglot. Cela faisait tellement longtemps que sa mère ne l’avait pas appelée comme ça. Et ça faisait tout aussi longtemps que sa mère n’avait pas pleuré devant elle. C’était un peu triste, mais Alix s’intéressait d’avantage aux détails, qu’aux grandes lignes. Cette situation était réellement étrange. Elle regarda alors son père, vêtu de son manteau noir, d’un col roulé et d’un pantalon en daim. Puis sa mère, habillée d’une robe très élégante.
-Alix, nous t’envoyons en internat. Annonça son père. Ce fût un choc total. Alors c’était ça, l’ambiance bizarre. Alix e savait ni quoi penser ni quoi répondre, alors elle ne fit rien. D’un seul coup, un jeune homme déboula dans la chambre. Un grand brun, avec des yeux si foncés que l’iris et la pupille ne faisait qu’un. Il était lui aussi vêtu tout de noir, ce qui lui donnait l’impression d’être de mèche avec ses parents. Décidément, cette journée était pleine de rebondissements rocambolesques. A l’arrivée du jeune homme, sa mère sortit en pleurant à chaudes larmes. Alors l’inconnu ferma la porte. Alix le dévisagea. Il portait des rangers, le pantalon rentré dedans et une veste noire. Tout était noir, à l’exception d’un logo rouge, côté cœur, sur sa poitrine. Il se tenait les bras croisés, contre le mur, comme s’il avait hâte de partir, et qu’il s’impatientait. Son père s’approcha alors lentement, d’un air coupable, se retournant à intervalle régulier pour regarder l’inconnu.
-Dîtes-lui, il n’y a rien d’autre à faire. C’est pour son bien, vous êtes son père. Lâcha-t-il. Son père soupira et dans un élan de courage, il lui avoua tout. Ce matin, dans son jus d’orange, il y avait des somnifères. Ils avaient pour but de l’endormir, et l’amener à l’infirmerie… Avant même qu’elle ait eu le temps de s’exclamer ou de poser des questions, son père continua sur le fait qu’elle allait partir avec cet inconnu sur le champ, vers sa nouvelle école, et que ses valises étaient déjà prêtes, dans la voiture de ce mec, qu’elle ne connaissait pas, et qui ne lui inspirait pas confiance.
-Il faut partir maintenant, sinon nous n’arriverons pas avant la nuit. Cracha-t-il.
Sur ces mots, il prit Alix par le bras et la tira sur quelque mettre avant que celle-ci ne daigne se défendre. Elle sentait le sol se dérober sous elle à chaque pas supplémentaires. Alix était désemparée… Alors c’était comme ça que ses parents lui prouvaient leur amour ? En la droguant puis en la laissant aux mains d’un inconnu ? Son cœur battait si fort qu’elle avait l’impression qu’il allait exploser d’une seconde à l’autre. Les larmes commençait à lui monter aux yeux, et sa gorge se serrait chaque seconde un peu plus, cette situation devenait insupportable, et Alix savait pertinemment que tout cela ne faisait que commencer. L’homme la ressaisit par le bras, puis l’emmena en direction de la sortie. Son père, lui, ne bougea pas d’un poil, il regarda sa fille partir, immobile, planté là. L’homme tenait toujours Alix fermement, tellement fermement qu’il lui faisait mal. Mais Alix était tellement perturbée par tout ce qu’il se passait qu’elle ne pensa même pas une seconde à broncher. Elle était là, et elle subissait chacun des évènements qui se déroulaient depuis ce matin. En chemin, ils croisèrent l’infirmière, à qui l’homme glissa discrètement une enveloppe, qu’elle prit sans hésiter. Puis ils arrivèrent dans la salle d’attente. Antoine était là. Alix se dégagea et couru dans se jeter dans ses bras. Elle pleurait toutes les larmes qu’elle avait pu économiser jusqu’à cette journée. Antoine la serra, fort, et elle s’empressa de lui expliquer ce qu’il se passait. Il semblait vraiment peiné, elle ne l’avait jamais vu dans un tel état. Il restait silencieux, mais ne parvenait pas à la lâcher. Evidemment, il ne voulait pas laisser partir sa meilleure amie. Elle nous plus ne voulait pas partir. Elle l’aimait plus que tout, elle serait perdue désormais.
-Je ne sais même pas où est-ce que je pars, Antoine… C’est loin, c’est tout ce que je sais… Le type a dit que si on veut arriver avant la nuit, il faut partir maintenant. A la fin de cette phrase, l’inconnu se décida à l’emmener, sans même qu’elle n’ait revu sa mère.
Sans qu’elle ne se soit rendu compte de rien, elle était déjà dehors, sous la neige, prête à monter dans une voiture dont elle ignorait tout du propriétaire.
Ch4 :
Alix s’était fait très vite à l’idée qu’elle partait et qu’elle ne reverrait plus Antoine pendant longtemps. Peut-être même qu’elle ne le reverrait plus jamais. Mais à vrai dire, elle comprenait parfaitement ses parents. Elle avait dépassé les bornes, et peut-être qu’un séjour dans un cadre stricte ne lui ferait pas tant de mal que ça. Elle avait appris au fil du temps à relativiser, et à accepter les situations rocambolesques. Elle était alors montée dans la voiture sans trop faire d’histoires.
-C’est bizarre quand-même de venir chercher les gens comme ça. Cracha-t-elle. Vous avez mis le paquet là… Me droguer, faut le faire. Alix était plutôt contente de sa dernière remarque, car sous sa réplique cinglante se cachait en vérité un besoin de comprendre.
-Ce n’était pas réellement de la drogue, simplement une bonne dose de calmants, et un peu de somnifère. Rétorqua-t-il, parfaitement calme. Les jeunes comme toi sont difficiles à transporter.
-D’abord, vous êtes qui, vous ?
-Ton mentor.
-Quoi ? Hurla-t-elle, abasourdit.
-Je suis ton mentor. Répéta-t-il.
-J’ai très bien compris !! Hurla-t-elle. Seulement… Je trouve ça un peu bizarre. Dit-elle plus doucement. La conversation s’arrêta là, comme si son «mentor» était chargé de lui donner le moins d’information possible.
Alix ne comprenait rien à rien, et elle commençait déjà à regretter de n’avoir pas résisté au moment de monter dans la voiture. Elle aurait peut-être pu s’enfuir, ou essayer de parler à ses parents.
Cela faisait déjà deux heures qu’ils roulaient. Et Alix commençait déjà à regretter sa petite ville tranquille, qu’elle détestait pourtant. Elle sentait mal toute cette histoire. C’était exactement le même pré-sentiment que quand elle s’apprêtait à faire cette bêtise, qui lui avait value de se retrouver là. En moins de vingt-quatre heures, sa vie venait de basculer. Elle ne serait plus jamais la même, elle le savait. Sans même qu’elle s’en soit rendu compte, Alix pleurait.
-C’est trop tard pour pleurer, je crois, ironisa l’homme.
Alix ne répondit pas. Elle avait envie de se jeter sur lui, de lui sauter au cou, de l’étrangler. Habituellement, elle l’aurait fait. Mais là, elle était sous l’effet du somnifère, et des calmants. Comment avaient-ils pu faire un tel mélange ? C’était absurde. Il continua à parler, pendant de longues minutes, mais Alix était bien trop faible pour réagir à quoi que ce soit et lui répondre. Elle s’endormi dans un sommeil profond, son portable entre ses mains.
Ch5 :
Alix se réveilla avec une drôle d’impression. Comme s’il lui manquait quelque chose. Malgré cette sensation d’engourdissement qui la tenait, elle eut le courage de tâter ses poches pour chercher son téléphone. Oh non ! Son téléphone, mais où était-il ? Alors elle ne pourrait plus joindre personne. Elle aurait dû s’en douter ! Elle était allongée sur un lit, au milieu d’une pièce bien éclairée, tout était blanc. Cela commençait à devenir une habitude de se réveiller dans des endroits blancs. Mais là c’était diffèrent, car elle savait pertinemment qu’elle pouvait être n’importe où, sauf à l’infirmerie de son lycée. A moins que… Peut-être était-ce un rêve. Alix se leva, non sans mal, et fit quelques pas vers la fenêtre, sous laquelle se situait un petit bureau. Alix s’approcha, encore et encore, pour apercevoir correctement ce qu’elle pourrait voir par la fenêtre. Elle fût surprise. Quelqu’un venait de parler, et tout ça était tout, sauf un rêve.

Il y a surement plein de fautes, désolée

Edité par mllemoi88 le 16-08-2014 à 19h53



Tiredaile

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Posté le 16/08/2014 à 21h45

Y a quelques fautes mais s'est pas bien méchant. J'adore, mais là tu me fais saliver, vivement la suite.

La suite ! la suite ! la suite !


Mais l'internat, c'est une école militaire ? Parce que bon, c'est un peu brutal la manière de faire de l'inconnue en rangers.

Edité par tiredaile le 16-08-2014 à 21h48



Mllemoi88

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Posté le 16/08/2014 à 21h58


tiredaile a écrit le 16/08/2014 à 21h45:
Y a quelques fautes mais s'est pas bien méchant. J'adore, mais là tu me fais saliver, vivement la suite.

La suite ! la suite ! la suite !


Mais l'internat, c'est une école militaire ? Parce que bon, c'est un peu brutal la manière de faire de l'inconnue en rangers.
Merci :) Ouais, c'est une sorte d'école militaire, enfaite c'est un bout' camp (je ne sais absolument pas comment ça s'écrit. lol) Mais on en saura plus sur lui après Je vais pas tout te spoiler quand même, même si j'en ai envie lol Et je sais pas trop comment faire partir l'histoire, parce que le grand brun elle pourrait autant se le taper que le détester, ou les deux à la fois.. Ou totalement autre chose mdrr

Edité par mllemoi88 le 16-08-2014 à 22h03



Ewanae

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Posté le 17/08/2014 à 15h50

Hey !
Ce que je vais te dire va surement de paraitre un peu étrange… mais je trouve que tu as un style d’écriture assez fluide. En fait c’est phonétiquement assez agréable à lire (c’est comme si ça chantait dans la tête =p), par contre ce qui est plus dérangeant, c’est que j’ai parfois du mal à suivre tes idées. On sent que c’est clair pour toi, mais nous qui ne connaissons pas les personnages, l’histoire, ni où tu veux en venir, c’est plus compliqué. Par exemple j’ai du relire plusieurs fois plusieurs passages (notamment ceux du début) pour en saisir l’idée précise.
Perso, en tant que lectrice j’aime que les choses soient carrées et sentir que si l’écrivain ne dit pas un truc, c’est parce qu’il nous réserve la surprise pour plus tard =p
Après, mis à part là clarté je pense que tu peux aboutir à un truc plutôt sympa ^^
Tu peux aussi développer le physique des tes personnages, leur sentiment histoire qu’on s’y attache un peu plus et que tu puisses comme ça utiliser d’autres mots que « elle » ou « Alix » pour la désigner et rendre la répétition moins lourde.
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