Bonjour,
Actuellement végétalienne, je compte passer au veganisme (je me pose trop de questions et je culpabilise quand je dois monter, l'équitation ne me plaît plus, je préfère avoir un rapport différent avec eux, bref.) mais étant propriétaire de 2 chevaux (un retraité et une jeune de 5 ans), je réfléchis encore à ce que je pourrais faire comme activité avec eux.
J'ai vu des cavaliers de club arrêter l'équitation complètement pour le veganisme mais je n'ai jamais eu de témoignages de propriétaires. Comment avez vous procédé ? Que faites-vous actuellement avec vos/votre compagnon-s suite à ce changement de "façon de voir les choses" ?
j'étais invité chez une nana crudivore ( donc pas de viande [color=purple]pourtant un bon tartare ou un carpaccio rentrent dans le "cahier des charges" ;) ) mais c'étais juste super bon ! des lasagnes végétal sans pates , sans creme , sans viande je ne sais pas se qu'il y avais dedans mdr mais top
par contre c'est compliquer niveau achat , pour se fournir de produit spécifique .
mais du genre la farine elle mangeant pas car le blé est chauffé
Je me permet de poser la question, car c'est toujours un intrigue pour moi:
Si on aime le métier et qu'on aime les animaux qu'on élève (ce qui veut dire, faire attention à l'autre, être au plus près de ces besoins), pourquoi leur faire subir de telles souffrances à cause de l'exploitation (car même un éleveur qui fait très attention, il sait qu'il induit de la souffrance à un moment donné pour pouvoir survivre) et surtout de les envoyer à l'abbatoir alors qu'on les aime ?
Est ce que ce n'est pas difficile pour vous de vivre ça ?
Il existe un documentaire qui s'appelle Peaceable of kingdom qui explique la souffrance énorme des éleveurs à voir mourir leurs animaux, à l'impact psychique que cela a sur eux.... Franchement, je ne pourrais plus être là dedans, être divisé entre l'amour et la souffrance...
Ben après, on peut avoir de l'affection pour les animaux à poils et à quatre pattes et ne pas en avoir pour les poissons...
hello myrific je viens juste de voir que tu m'avais notifié
merci pour tes explications et celles d'Erell, entre autres
je rebondis juste sur ce message qui me liasse perplexe sur l'histoire de l'affection pour les poissons
pour moi si on choisi d'être vegan ou autre, c'est pas que par affection pour tels animaux et pas d'autres mais c'est avant tout par respect du vivant et justement pour préserver ce vivant
enfin pour moi
donc lire que je peux avoir de l'affection pour les lapins par ex et ne pas en bouffer mais manger du poisson
c'était peut-être de l'humour
sinon, comme d'hab je bois les paroles d'Erell et je vois que le post a bien dévié sur les vaches alors un peu d'humour, sans vouloir t'offenser atoutcheval
Mohilando, tu relèves un point important sur l'affection qu'on a pour certains types d'animaux et pas d'autre puisque c'est la base du spécisme. C'est comme ça que la plus part des gens peuvent manger des vaches et aimer leurs chats, par exemple, sans problème.
D'ailleurs, il a été démontré que plus le repas approche, plus les animaux qui vont être mangés lors de ce repas vont devenir stupides, sales et in-intelligent pour les gens qui vont les manger... C'est une opération du psychisme pour rendre acceptable de manger des animaux...
Mohilando, tu relèves un point important sur l'affection qu'on a pour certains types d'animaux et pas d'autre puisque c'est la base du spécisme. C'est comme ça que la plus part des gens peuvent manger des vaches et aimer leurs chats, par exemple, sans problème.
D'ailleurs, il a été démontré que plus le repas approche, plus les animaux qui vont être mangés lors de ce repas vont devenir stupides, sales et in-intelligent pour les gens qui vont les manger... C'est une opération du psychisme pour rendre acceptable de manger des animaux...
Alors, j'ai bien lu l'article mais je ne suis pas d'accords !
La diversité des omnivores est beaucoup trop vaste pour faire de telles généralité ! Vu les chiffres ils parlent ici des omnivores tels que l'ours qui mange beaucoup de viande et de poissons.
Je ne dis en aucun cas que l'homme dot manger de la viande tous les jours, au contraire je suis persuadée que trop de viande nuit a l'organisme.
Cependant si on compare vraiment, les herbivores stricts (et herbivores ça veux bien dire qui mange de l'herbe ! Sinon c'est granivores ou frugivore etc.) on un tube digestif extrêmement longs, ils ont développés des stratégies pour mieux digérer (les vaches ruminent, les lapins remangent leurs crottes etc.) et surtout dans beaucoup de cas ils n'ont pas du tout de canine ! (ou un léger reste comme les chevaux). Le fonctionnement du tube digestif et le mode de vie sont également différents, les herbivores mangent 15 à 20 h par jours et dorment très peu, alors qu'au contraire les hommes, comme les omnivores (et les carnivores) dorment beaucoup et mangent rapidement. Il faut savoir que pour la plupart des herbivores avoir les intestins vides peut les tuer ! Hors nous pouvons passer une bonne dizaine d'heures sans manger.
Sinon, un peu hors sujet mais bon, les vrais rédacteurs citent leurs sources ! Ils citent l'article scientifique qui expose le fait plutot que de dire "les scientifiques disent", parce qu'a ce rythme la moi je peux écrire un article et dire "les scientifiques disent que les chevaux sont des carnivores, ont vous a menti depuis que vous êtes tout bébé !"
Je suis personnellement en master bio-santé, je côtoie quotidiennement des chercheurs spécialistes de la nutrition, jamais au grands jamais je les ai entendu qualifier l'homme d'herbivore, mais bon, si on me sort un article scientifique qui le prouve je pourrais peut etre le croire.
Pour revenir au sujet des canines, la plupart des grand singes en ont (pour ne pas dire tous). Pourtant ils ne mangent pas de viande
Donc rien à voir pour moi.
Quand au fait que les herbivores dorment moins, je pense que c'est aussi lié au fait qu'ils sont avant tout des proies. Donc oui, instinctivement ils vont dormir peu, ou peu profondément. Nous en tant qu'homme on peut rationaliser tout ça : non un tigre ne va pas venir me dévorer pendant que je fais ma sieste. Mais j'avais entendu parler d'un article qui parlait du rythme de vie (et notamment les alternances éveil/sommeil) des "premiers hommes", et ce n'était pas du tout le même que le notre. (sorry, je pense que je pourrais le retrouver mais j'ai la flemme, je vous laisse chercher si ça vous intéresse).
Et pour la comparaison avec le temps de sommeil des carnivores euh... Mon chat doit dormir à peu près 18h/jour. Je veux bien être du genre à beaucoup aimer mon lit, mais peut-être pas à ce point là haha !
Mohilando, tu relèves un point important sur l'affection qu'on a pour certains types d'animaux et pas d'autre puisque c'est la base du spécisme. C'est comme ça que la plus part des gens peuvent manger des vaches et aimer leurs chats, par exemple, sans problème.
D'ailleurs, il a été démontré que plus le repas approche, plus les animaux qui vont être mangés lors de ce repas vont devenir stupides, sales et in-intelligent pour les gens qui vont les manger... C'est une opération du psychisme pour rendre acceptable de manger des animaux...
Je ne suis pas d'accord avec le dernier paragraphe.
Au risque de me faire lyncher, je mange du cheval. Et pourtant, ils ne deviennent pas stupides et sale au miment du repas..
Idem, tu parle de spécisme en parlant d'avoir de l'affection pour les a'imaux que l'on ne mange pas: encore une fois, j'aime mes chevaux, je ne pourrais jamais leur faire le moindre mal, et pourtant en manger ne me dérange pas. C'est l'individu que j'aime, pas le fait que ce soit un animal ou non. Idem, tu m'amène dans une contré ou manger du chat est la norme, je n'aurais aucun scrupules à en manger, tant que c'est pas mon chat que l'on me sert...
Dn's ce cas, mes chats sont spécistes alors.
Parcequ'ils sont très copains avec le ratou de la maison, pour autant, ils n'ont aucun scrupules à me ramener des cadavres de rat "du dehors".
Et beaucoup d'animaux dans le règne nimal le sont.
Le spécisme (du mot anglais speciesism de même sens) est un concept utilisé en philosophie morale pour nommer la discrimination que les humains imposent aux individus de certaines espèces animales, telles que les animaux d'élevage, les animaux destinés à l'expérimentation ou encore ceux considérés comme nuisibles. Selon ce concept, les humains négligent les intérêts à vivre et à ne pas souffrir (entre autres) des individus des espèces discriminées et accordent une considération morale supérieure à leur propre espèce. Par extension, la spécisme renvoie aussi à l'idée que les humains accordent une considération morale plus ou moins importante aux individus des espèces discriminées, qui dépend précisément de leur espèce : les animaux de compagnie et les animaux dont l'espèce est en voie de disparition voient par exemple leurs intérêts davantage pris en compte que les animaux d'élevage.
Le concept de spécisme a été forgé à partir du début des années 1970 par analogie avec les notions de racisme et de sexisme, dans le but de dénoncer une idéologie dominante, de la même manière que la notion de patriarcat a été reprise par le féminisme radical pour définir ce qui était jugé comme une idéologie omniprésente, invisible et à l'origine de diverses injustices. Le concept de spécisme est ainsi fondamentalement lié à celui d'antispécisme.1
L'affirmation de la supériorité de l'espèce humaine et des distinctions entre animaux de compagnie, animaux d'élevage et animaux nuisibles faisant partie du sens commun, la pertinence analytique de la notion de spécisme est avant tout reconnue par les militants animalistes et par certains universitaires travaillant spécifiquement sur le statut moral des animaux "non humains". Bien moins reconnu que les concepts de racisme ou de sexisme, le spécisme ne fait donc pas l'objet des mêmes politiques publiques spécifiques, telles que la pénalisation des discriminations spécistes ou l'inclusion dans les programmes scolaires relatifs à la promotion de l'égalité. Il existe de plus une controverse sur l'existence même de l'idéologie spéciste. Tandis que les antispécistes considèrent que le spécisme est une idéologie qui est très largement répandue dans la société et qui devrait être combattue, d'autres personnalités rejettent cette qualification, soutenant plutôt que l'intérêt que nous accordons prioritairement à notre espèce et la façon dont nous différencions le traitement des animaux des autres espèces ne résultent pas d'une idéologie particulière et unifiée.
source: wiki !
ça sera plus simple et on va pouvoir discuter avec une base !
Faudrait peut être arrêter de montrer le "spécisme" comme le grand Mal du siècle aussi...
J'écrase les taons qui énervent mon poney. J'aime mes animaux et je suis agricultrice. Mon chat a le droit de rentrer dans la maison, dormir dans mon lit, alors que ceux de la ferme restent dehors. Je chouchoute ma "MamieVache" alors que je limite ++ les contacts avec d'autres. Je donne des fruits et légumes à mes chevaux, alors que je donne même pas du foin aux autres poneys dans le village. J'aime ma grand-mère et je déteste mon prof de maths...
Je suis spéciste, et je le vis bien.
Tout le monde sur Terre ne vise pas à être le plus "juste" possible.
[color=purple]pourtant un bon tartare ou un carpaccio rentrent dans le "cahier des charges" ;) ) mais c'étais juste super bon ! des lasagnes végétal sans pates , sans creme , sans viande 
je ne sais pas se qu'il y avais dedans mdr mais top 
