Bonjour tout le monde
Je vous rejoins par ici parce que je suis dans une situation que je n'ai jamais connue auparavant, et que j'ai un peu de mal à savoir par quel bout prendre tout ça...
J'ai commencé un nouveau boulot en avril de cette année. Hormis le fait d'avoir la sensation que ça me tire beaucoup physiquement et que le boulot en lui-même ne me passionne pas plus que ça, tout se passe bien avec une bonne ambiance d'équipe et de bonnes relations hiérarchiques au dessus.
En janvier 2022, on m'a diagnostiqué (radios et écho) une tendinite calcifiante à l'épaule gauche suite à des douleurs abominables survenues en pleine nuit. J'ai eu des anti-douleurs et des anti-inflammatoires, un arrêt pour du repos et je n'ai plus été embêtée. Il y a 3 semaines de ça, j'ai refait une crise aigue à la même épaule, je repasse des radios la calcification est toujours présente, je suis arrêtée 10 jours + le même traitement que l'autre fois. Depuis, j'ai encore des douleurs (mais pas de grosses crises), et beaucoup de raideurs.
J'ai un entretien avec mon directeur et ma RH, on évoque la possibilité d'un mi-temps thérapeutique dans l'idéal et dans le cas où je ne tienne pas physiquement avec une fin un peu moins happy end un licenciement pour inaptitude. Ayant toujours mal et en commençant aussi à ressentir la même chose dans mon épaule droite, je retourne au médecin qui me prescrit une radio de l'épaule droite : résultat, tendinite calcifiante également, avec une calcification encore plus volumineuse que l'épaule gauche. Je suis à ce jour de nouveau arrêtée.
J'ai une IRM le 14 octobre et très probablement, dans un premier temps des infiltrations pour la suite.
Me voilà donc à 34 ans avec une tendinite à chaque épaule
Je bosse depuis que j'ai 16 ans, j'ai toujours travaillé dans le commerce (alimentaire et non alimentaire) et étant petite de taille je suis constamment en train de tirer/élever mes bras pour attraper tout et n'importe quoi (le marche-pied n'est parfois pas suffisant
)
J'ai eu la médecine du travail au téléphone et ils sont clairs : repos total au moins jusqu'aux infiltrations et reconversion. A voir selon l'IRM et les réponses aux infiltrations concernant les douleurs mais une reprise même à mi-temps thérapeutique paraît difficilement envisageable, compte tenu que j'en ai une à chaque épaule le risque de rechute est trop élevé.
Tout ça pour en venir à quelques questions : dans le cas où je quitte mon entreprise actuelle pour me reconvertir, vaut-il mieux partir sur un licenciement pour inaptitude ou une rupture conventionnelle? Y en a t'il parmi vous qui se sont déjà reconvertis, avec ou sans soucis de santé?
Merci d'avance pour vos retours