Décontraction de la bouche

Oui, je comprends.
Par contre, je n'ai jamais dit que je ne touchais pas à la bouche sinon, en effet, je pense que je ne pourrais rien obtenir.

ce n'etais que des exemples de ce qui se dit pour des raisons commerciales et de bonne moralite et qui ammene a une realite tres erronee

D'accord. Alors, je suis bien d'accord avec vous !

cyriline a écrit le 05/02/2010 à 15h28: Etant donné que tu debute son travail, je maintient que le travail en terrain varier est une très bonne solution, à completer avec le travail en carrière mais qui pour moi vien au second plant. La longe pendant un ans je trouve cela completement absurde... Surtout qu'une longe mal employer (ne le prend pas pour toi Bloops) peu etre catrastrophique pour le cheval. Lorsque tu travail en exterieur tu peu réaliser les exercices que te propose Gnap sur les variations d'allures et surtout travailler tes actions de mains de facon à ne lui offrir aucun appuis. L'autre avantage du travail en terrain varier c'est qu'elle va se musculer et également améliorer son équilibre. Il faut lui laisser le temps de retrouver locomotion et équilibre.

d'ailleurs rien de mieux qu'une ballade avec des montees de des descentes et du trotting entre les arbres comme un slaloom en plus ils s'amusent

Pour moi l'exterieur fait partie du travail du jeune cheval, mais on ne peu pas l'assimiller à une simple ballade, même si il y a des temps de repos rênes longues mes sorties on toujours un but. C'est plus une mise en condition, qu'une récréation.

cyriline a écrit le 05/02/2010 à 17h25: Pour moi l'exterieur fait partie du travail du jeune cheval, mais on ne peu pas l'assimiller à une simple ballade, même si il y a des temps de repos rênes longues mes sorties on toujours un but. C'est plus une mise en condition, qu'une récréation.

je parlai du psychique du cheval dans le sens ou il est bien plus equilibrant pour lui de travailler ainsi que dans un manege

Citation : Pour moi l'exterieur fait partie du travail du jeune cheval, mais on ne peu pas l'assimiller à une simple ballade, même si il y a des temps de repos rênes longues mes sorties on toujours un but. C'est plus une mise en condition, qu'une récréation.

Cyrilline, moi aussi j'ai l'habitude de travailler les jeunes chevaux en extérieur, mais plutôt sur le souffle, l'équilibre, la régularité. J'aimerais bien savoir un peu plus de quelle façon tu travailles à l'extérieur (peut-être sur un nouveau topic, si tu veux bien?)

Istria, c'est vrais que l'exterieur est essentiel pour le mental du cheval, et je vais justement rebondir sur ta reflextion pour répondre à Gnat, dont l'orientation de son travail se raproche de la mienne, il me semble.

Mon travail en exterieur, est comme toi, la mise en soufle, l'équilibre la recherche de la régularité dans les allures... Ce qui nous amène à la décontraction. Décontraction obtenue car psycologiquement le cheval est plus serein à l'exterieur, et plus allant. Grace à cette implusion naturelle, nos action de jambes devienne limité, se qui rend le cheval plus réactif à nos moindre sollicitations. Cette implution devra etre réguler par les actions de mains, sur des rênes fuildes, avec un contact légé. Je n'ai encore jamais rencontré de problème d'appuis avec un jeune en travaillant ainsi.
Lorsque le cheval est détendue, il nous le fait savoir, vous savez avec se petit soupir qui vien des naseaux (d'ailleur ils nous en mettent de partout quand on est a coté). C'est à partir de se momment que je peu commencer à travailler. Le cheval étant disponible. Chez certain chevaux on peu attendre parfois longtemps avant de l'obtenir mais au fur et à mesure des séances la décontraction est de plus en plus rapide.
Je recherche d'abord au trot une cadence réguliere et une attitude d'extention vers l'horizontal. C'est dans cette attitude que le cheval est le moins "fatiguable" musculairement et qu'il décontracte ses machoires le plus facilement. Cela dit il ne s'agit toujours que de courte demande suivit d'un temps de repos au pas.
Je demanderais la même chose au galop lorsque le poulain aura au préalable acquis une bonne locomotion et est décontracté au trot.
J'ai l'avantage d'avoir une foret tres valonnée avec de bonne pistes plates et en ligne droite, qui favorise l'équilibre, et participe à la musculation. Cela permet aussi de travailler les variations d'amplitude, et tout ce qui est liée au transitions.

Pour conclure je dirais que le travail en exterieur permet de travailler les bases, tout en jouant positivement sur le mental du cheval et sur sa décontraction. C'est pour cela que, même par la suite, la plupart de mes détendes se font en exterieur (10/15 min) avant de travailler en carrière ou en liberté quand le temps ne le permet pas.

Tout ceci n'est le fruit que de mon experience, c'est une courte description d'une partie de mon travail.

cyriline a écrit le 06/02/2010 à 12h55: Istria, c'est vrais que l'exterieur est essentiel pour le mental du cheval, et je vais justement rebondir sur ta reflextion pour répondre à Gnat, dont l'orientation de son travail se raproche de la mienne, il me semble. Mon travail en exterieur, est comme toi, la mise en soufle, l'équilibre la recherche de la régularité dans les allures... Ce qui nous amène à la décontraction. Décontraction obtenue car psycologiquement le cheval est plus serein à l'exterieur, et plus allant. Grace à cette implusion naturelle, nos action de jambes devienne limité, se qui rend le cheval plus réactif à nos moindre sollicitations. Cette implution devra etre réguler par les actions de mains, sur des rênes fuildes, avec un contact légé. Je n'ai encore jamais rencontré de problème d'appuis avec un jeune en travaillant ainsi. Lorsque le cheval est détendue, il nous le fait savoir, vous savez avec se petit soupir qui vien des naseaux (d'ailleur ils nous en mettent de partout quand on est a coté). C'est à partir de se momment que je peu commencer à travailler. Le cheval étant disponible. Chez certain chevaux on peu attendre parfois longtemps avant de l'obtenir mais au fur et à mesure des séances la décontraction est de plus en plus rapide. Je recherche d'abord au trot une cadence réguliere et une attitude d'extention vers l'horizontal. C'est dans cette attitude que le cheval est le moins "fatiguable" musculairement et qu'il décontracte ses machoires le plus facilement. Cela dit il ne s'agit toujours que de courte demande suivit d'un temps de repos au pas. Je demanderais la même chose au galop lorsque le poulain aura au préalable acquis une bonne locomotion et est décontracté au trot. J'ai l'avantage d'avoir une foret tres valonnée avec de bonne pistes plates et en ligne droite, qui favorise l'équilibre, et participe à la musculation. Cela permet aussi de travailler les variations d'amplitude, et tout ce qui est liée au transitions. Pour conclure je dirais que le travail en exterieur permet de travailler les bases, tout en jouant positivement sur le mental du cheval et sur sa décontraction. C'est pour cela que, même par la suite, la plupart de mes détendes se font en exterieur (10/15 min) avant de travailler en carrière ou en liberté quand le temps ne le permet pas. Tout ceci n'est le fruit que de mon experience, c'est une courte description d'une partie de mon travail.

Citation : Pour conclure je dirais que le travail en exterieur permet de travailler les bases, tout en jouant positivement sur le mental du cheval et sur sa décontraction. C'est pour cela que, même par la suite, la plupart de mes détendes se font en exterieur (10/15 min) avant de travailler en carrière ou en liberté quand le temps ne le permet pas.

Oui, ce que tu décris est très proche de ma façon de faire. Par contre je n'ai pas l'habitude de faire mes détentes en extérieur, mais ça me semble interessant pour poser les bases physiques (impulsion-équilibre) et psychiques (décontraction). Je vais essayer à l'avenir...

flexion extension on joue avec les rênes même au placé, et un ptit mors double brisure en cuivre pour le confort et aider a décontracter grace aux ions de cuivre