Connaissez vous le système Caprilli, il sistema di equitazione naturale ? je vois que non, alors renseignez-vous un peu avant de dire n'importe quoi.
Eh, je pose des questions, j'essaye de comprendre. Je n'ai rien asséné, rien admis, rien invoqué. Quand on essaye de comprendre, on tâtonne dans sa réflexion.
Et après ça vient parler de respect et de comprendre ce qui est écrit.... C'est dans les deux sens, le respect.
Citation :
La "preuve" est constituée par les résultats de ce travail sur des dizaines de milliers de chevaux et de cavaliers. Mais l'accès à cette preuve demande plus que de visionner une vidéo sur Internet. Elle demande de la culture.
En fait, ce que j'ai du mal à lier, c'est la discussion que l'on a - sur la tenue de l'encolure et le fait de garder le cheval au naturel - et le fait de remporter une guerre.
Comme ma culture est limitée, je veux bien quelques explications sur le lien entre ces deux choses.
Car jusqu'alors, ma culture militaire étant surtout celle de l'Ancien Régime, on gagnait des guerre par la tactique, la forme physique de ses chevaux (bien nourris, par exemple), mais je n'ai pas lu que le duc d'Enghien a gagné Rocroi parce que les chevaux étaient dressés avec telle ou telle attitude.
Quand je dis que je ne suis pas convaincue, c'est que comme je n'ai pas ta culture et ta science, je ne comprends pas.
Citation :
Cette démarche donne
Caprilli -> cavalerie italienne -> obstacles naturels en exterieur -> cross -> Astier qui dresse ses chevaux sur le plat donc Caprilli dressait les chevaux sur le plat !
Je n'ai pas dis ceci, à votre tour de ne pas comprendre.
C'était une hypothèse, pour comprendre le travail des chevaux militaires EN AMONT.
Vu que je n'étais pas née en 1910 et que je ne connais pas le dressage de la cavalerie Italienne, je ne peux que réfléchir avec le peu de culture que j'ai, afin de créer des analogiques.
Il me semblait ainsi logique qu'un cheval destiné à couvrir des obstacles de tout type, puisse avoir une préparation physique préalable, cet exercice de sauter des obstacles et de descendez des ravins ne rentrant pas vraiment dans le quotidien d'un cheval au pré, d'autant plus avec un cavalier sur le dos qui pèse 80-90kg en moyenne.
Comme aujourd'hui nous ne descendons pas de ravins avec nos chevaux, j'ai pris l'exemple le plus approchant des exercices militaires italiens de l'époque, qui est une discipline venant elle-même des entraînements militaires. Et aujourd'hui, il s'avère que les cavaliers, afin que leurs chevaux soient performants et tiennent le coup, dressent leurs chevaux sur le plat.
Les chevaux de la Garde tiennent tant bien que mal jusqu'à 17ans grâce à un travail sur le plat, notamment pour leur aider à porter matos + cavalier pendant des escortes.
En revanche, en extérieur, nous leur laissons plus de liberté d'encolure tant que la situation le permet, donc une position plus naturelle. Cette position les aide notamment à marcher dans des zones peu confortables, dans lesquelles le cavalier peut les gêner.
Voilà pourquoi - pauvre ignare - j'ai eu l'audace de penser que l'armée italienne aurait pu faire la même chose.
Me tromper dans mon raisonnement ne veut pas dire que je fais exprès de ne pas comprendre ou que je manque de respect. Toutefois, s'évertuer à parler aux gens comme à des ignares abrutis, avec des remarques désagréables et ironiques, n'avance rien au débat.
Si vous vous sentez trop supérieur pour continuer à nous cultiver sur le travail de Caprilli, ça ne sert peut-être plus à grand chose de continuer à discuter...