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Ethologie, horsemanship, la cense, parelli & c
Posté le 12/10/2022 à 14h58
Pour moi c’est surtout que souvent les personnes issues des formations La Cense ou parelli (mais je pourrai en citer pleins d’autres), sont très fermées dans leur enseignement, je dirai même leur doctrine : on m’a appris ça donc je fais comme ça. Surtout quand ce sont de jeunes pro ou des gens qui ont suivi uniquement (ou presque) cette formation.
Je connais des gens qui sont passés par des formations avec à La Cense ou Parelli mais en ayant un gros bagage derrière, pour certains très classique à l’ancienne ou plutôt orienté western par exemple. Ou des gens d’un naturel curieux et impliqués qui continuent d’aller voir autre chose ensuite. Ces gens restent intéressants car ils piochent dans cette formation mais aussi dans d’autres, ils ont un large panel de connaissances donc savent s’adapter au cheval et ont enrichi/continuent d’enrichir leurs connaissances.
C’est via une de ces personne que j’en suis arrivée a m’intéresser au clicker et au renforcement positif. Car on voyait bien que mon cheval restait peu impliqué via les autres méthodes : il faisait mais sans envie.
Donc on fait quoi quand ce qu’on a appris ne semble pas fonctionner parfaitement, mais qu’on a envie de bien faire et d’aider le couple cheval/cavalier : et bien on penche vers ce qu’on ne connaît pas
Enfin à titre personnel je trouve que quand on sort de club sans trop d’expérience autre que le cours monté une fois par semaine, ces méthodes sont souvent la porte d’entrée quand tu commences à t’intéresser à l’éducation du cheval et à son entité en tant qu’être vivant (je ne sais pas trop comment décrire ça). Ensuite la suite du processus de réflexion fait qu’on va chercher à aller de plus en plus loin.
Donc pour moi ça reste une porte d’entrée vers la recherche du respect envers son cheval et d’une bonne relation