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Justement Blingbling, la manière à son importance, car chez Baucher l'extension d'encolure (encolure horizontale et non le nez en bas) découle de la flexion latérale qui elle est demandée suite à une flexion de mâchoire. Cette flexion se faisant en remontant le mors vers les oreilles: donc action sur les commissures.
Cela peut sembler identique j'en conviens mais pour une raison que je ne suis pas en mesure d'expliquer (des études vétérinaires ont été menées mais sans résultat probant et si il yen a eu depuis je suis preneur de l'info), lorsque tu pratiques des flexions (latérale, de nuque) sans être passé par la flexion de mâchoire (avec déglutition) les conséquences sont le maintien des contractions avec un amollissement de la base d'encolure (en clair le cheval n'est pas en mesure de soutenir son dos correctement). Ce phénomène à d'ailleurs été évoqué en premier par le maître Oliveira qui dit, à ce sujet, que c'est la cause de l'abandon des flexions car trop de personnes les pratiquent sans cette flexion de mâchoire préalable et perdent le bénéfice des flexions pour n'en récolter que des inconvénients (inconvénients qui ne seraient pas si elles étaient bien faites).
J'espère être clair car ce sujet n'est pas si facile a appréhender. |
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La méthode Pradier tient, en autre, ses origines sur cette manière à remonter ses rênes. Je l'utilise sur mon cheval. Il suffit que je remonte mes mains vers les oreilles (bon maintenant, c'est extrêmement discret, un oeil novice le verrais pas je pense), pour qu'il vienne descendre et mâchouiller son mors.
Quand tu parles de flexion de mâchoire, est ce bien ce que pratique m.T de la vidéo d'Elfik ?
J'ai travaillé de cette manière avant son débourrage mais à l'heure d'aujourd'hui, je n'y vois plus d'intérêt
J'ai aussi pratiqué les flexions de la vidéo que tu as posté, car je trouve celà très important. C'est notamment grâce à ça que j'ai pu le débourré seule et sans passé par la longe...
Aujourd'hui, je rencontre cependant un problème que j'ai du mal à résoudre. Au travail, il est vraiment agréable, un dos souple, un travail calme, fluide et sans heurte. Il commence à faire des belles transitions soutenues. J'ai juste quelques grammes dans les mains, les doigts constamment ouverts, un cheval qui mâchouille son mors délicament. Son encolure est mobile, on l'emmène où on veut, après ce sont mes jambes qui dirige le reste de son corps. Bref, il est extremement facile, surtout que je n'ai pas une position qui fait rêver

. Tous les défauts techniques viennent de moi mais lui, il est top. Un cavalier militaire qui l'a monté, spécialiste du jeune cheval, a été très étonné de la qualité de sa bouche pour son jeune âge.
Mais voilà, quand il est au travail, tête à niveau, et lorsque je lui donne des rênes trop rapidement pour lui demander d'allonger son encolure à l'horizontal, il a tendance à vouloir les arracher.
Je suis obliger de jouer beaucoup dans mes doigts et de lui donner petit à petit des rênes. Dans ce cas, j'ai ce sentiment qu'il vient s'encapuchonner.
Il a un truc que j'ai mal fait dans son travail, et je ne sais pas quoi. C'est pour ça que je n'arrive pas à résoudre ce soucis.
Il a une bouche très fine, et il ne supporte pas, par exemple, qu'on ait des rênes mi-longues et flottantes. Je pourrait sans problème lui apprendre le cabré, et le retourner tellement il est fin de devant.
Abuser des flexions/cessions ?
Trop de nez en bas ? (Julie, la cavalière du docteur n'a pas ce problème et elle l'utilise plus que moi)
Finalement, mon travail n'est pas juste ?
C'est simplement une mauvaise habitude ?
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