Le post de l'endurance

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Nadinegari

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Le post de l'endurance
Posté le 10/03/2012 à 12h24

Pour tous ceux qui auraient envie de se mettre à l'endurance, un petit post spécifique que chacun pourra enrichir de son expérience...

Comme toutes les disciplines équestres, la progression est... progressive!!

Avec une licence de compétition "club", on peut courir jusqu'à 60 km, à une vitesse imposée par le réglement. Les conditions pré-requises sont les mêmes que pour les autres disciplines : n'importe quel cheval, du moment qu'il est inscrit sur la liste des chevaux de sport EDIT : et/ou la liste club.

On commence par une 20km (ou une 10 pour les plus jeunes).
Il y a deux types de 20km :
- la club 3 qui se court obligatoirement à une vitesse comprise entre 10 et 12km/h (ce qui n'est pas un rythme très soutenu, pour ceux qui s'inquièteraient!).
- la club 2 qui se court entre 12 et 15km/h.
Une fois que l'on a couru une 20 et qu'on a obtenu sa qualification, on a le droit de courir une 40 (à condition que le cheval que l'on monte ait aussi obtenu sa qualif sur 20!)
Il y a un contrôle vétérinaire initial, avant la course et un contrôle final, au terme de celle-ci. Les vétérinaires vérifient le cardiaque du cheval (qui doit être inférieur à 64 - A confirmer...), son métabolique (muqueuses, transit...) et sa locomotion (pas de boiterie ou d'irrégularités d'allure au trot durant le trotting, un aller-retour au trot en ligne droite devant les véto).
Si la distance n'a pas été parcourue dans les limites de vitesse imposées par l'épreuve ou si l'un des points véto n'est pas bon, on est éliminé et on n'a donc pas sa qualif. Il faudra recourir une autre 20 pour se qualifier.
D'où l'expression : "en endurance, finir, c'est déjà gagner!"...

40km, c'est donc une "club 1" à courir à une vitesse imposée de 10-12km/h ou une "club 1 Elite" à 12-15km/h. Contrairement à une 20 : la course se fait en deux étapes. Il y a donc un contrôle véto intermédiaire entre les deux boucles, qui fonctionne exactement pareil que l'initial et le final, avec la même sanction en cas de problème.

Si on obtient sa qualif sur 40, on a le droit de courir une 60 (toujours la même condition : sortir avec un cheval qui a déjà été qualifié sur 40).

Les courses font rarement exactement la distance : il y a une fourchette... Une boucle peut faire 22 km, par exemple. C'est logique si on prend le temps de songer que c'est un peu difficile de trouver des chemins qui vous font faire 20km très exactement! On sait avant le départ la distance exacte que l'on va avoir à parcourir.

Sur une 20, on peut se passer d'assistance.
En club 2, à 15km/h, on tourne à 4mn le km (sur la piste, on a des panneaux tous les 5 km, au cavalier de calculer et de gérer le temps qu'il lui faut pour aller d'un panneau à l'autre : si on n'arrives pas à temps au panneau, c'est que on doit mettre un peu de gaz dans la portion suivante!).
On reste donc sur la piste 1h20 (1h40 si on part en club 3, pour tourner à 10-12 km/h).
Ce qui compte, c'est l'heure d'arrivée : on part à telle heure et on doit donc arriver 1h20 après.
Avant de partir, se renseigner comme je le disais : si c'est une boucle de 22km, on doit mettre 1h20 + 2 fois 4 minutes, soit 1h28).
Et on a toujours un panneau qui indique qu'on est à 1km de l'arrivée, au cavalier de parcourir ce dernier km de façon à arriver à l'heure précise prévue, cela peut aller du pas au galop selon la façon dont on a tourné sur la piste (nature du sol, etc).
Eviter d'arriver au galop pour franchir la ligne d'arrivée : c'est fun, mais pas extra pour le cardiaque..
Bref, c'est une grosse balade intensive en rythme pour laquelle les chevaux peuvent se dispenser de boire. On fait boire et arrose copieusement (ne pas arroser au moment où ils boivent) en arrivant et avant d'aller au vet gate (contrôle véto). On doit passer au contrôle véto une demie-heure après être arrivé.
Après, c'est toujours plus sympa d'avoir quelqu'un sur la piste aux points d'assistance! Notamment si on déferrre et que l'assistance peut remplacer le fer.
Bref, pour partir sur une 20, on prend son matériel usuel, un ou deux potes (ayant le permis!!), des seaux, des éponges, un couteau de chaleur et une ration à donner en sortant du vet final.
Pour l'eau sur la piste : des bidons de 20 litres dans la bagnole pour remplir les seaux et préparer à l'avance des bouteilles pour arroser (le mieux : des bouteilles de lait grand format avec une poignée).
Dans la zone de grooming, à l'arrivée, on a toute l'eau dont on a besoin pour arroser et faire boire dans d'immense bacs.
Prévoir des fringues de rechange et notamment des godasses, si c'est une course où il y a du monde, avec des épreuves de la 20 à la 90... Tout le monde arrose au même endroit, dans la zone de grooming et, très vite, on se retrouve dans une mare de boue jusqu'aux chevilles...


Je vais maintenant de ce pas chercher les réglements de la fédé.
Me corriger pour le nom des épreuves (Club1 GP et compagnie... Me souviens pas bien, ne faisant pas l'effort de le retenir, au quotidien, je parle en km...) Et compléter mes propos, j'ai du oublier pas mal de trucs à écrire au fil du clavier...


LE SOMMAIRE :

Page 1 :
- Quelques renseignements sur les épreuves "club"
- Le réglement FFE 2012 (copier/coller, captures d'écran et finalement lien direct vers la FFE... )
- Le trotting par Pilou-Ly et le lien vers son post initial où vous trouverez la discussion dans son intégralité.

Page 2 :
- Le lien vers le post de Sophie "Bien débuter l'endurance" (avec, en bonus, l'aveu spontané de ma quichitude).

Page 5 :
- Les secrets de l'arrosage par Pilou!

Page 16 :
Un lien utile :
http://www.ceer-aquitaine.fr/pages/frameset_page_principale.html
Il faut cliquer à droite de votre écran, dans la rubrique "Infos pratiques" sur le lien "Conseils pratiques et réglements"
(le lien direct ne marche pas)
Une présentation de ce qu'est l'endurance et des conseils pour débuter l'entraînement.

Edité par nadinegari le 29-05-2012 à 23h30

Lynette

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Posté le 03/04/2020 à 10h35

mraaw Génial ces grandes rando….! Ca doit être top comme expérience! Mais je pense à un "détail hygiène"... Comment se passe les douches? Où trouvez vous de l'eau??

Mraaw

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Posté le 03/04/2020 à 12h17

lynette Les pays de l'est ça dépend des régions mais l'Europe de l'ouest, on a l'eau courante, donc l'eau tout bêtement il y en a partout où il y a des habitations.
Comme on est toujours chez quelqu'un, il faut toujours demander l'autorisation du propriétaire des lieux pour bivouaquer, et donc demander de l'eau (à boire). J'ai alors de l'eau matin et soir au minimum, j'en repropose à l'arrivée, avant d'aller me coucher, en me réveillant et avant de partir. En journée, il y a des l'eau (robinet public) dans tous les bourgs. En zone non urbaine, on est généralement sur des pâturages donc les animaux ont accès à l'eau, il faut la trouver parfois sur de grandes étendues, mais la carte est là pour ça (l'Auvergne c'est ce genre de choses), si on est en zones cultures (entre Paris et Troyes c'était blé à n'en plus finir) il y a toujours des fermes.
Pour la douche, ton commentaire appuie sur ce point et c'est la première chose que les gens proposent lorsque je fais étape chez l'habitant (ça représente 90% de mes étapes). Lorsque je suis sur terrain communal, on vient très souvent spontanément à moi, tant pour discuter, poser plein de questions, offrir un dîner/petit déjeuner/ravitaillement/lit/douche/accès internet/foin/grain/pré clos/paddock etc....
L'accueil est très bon, partout !
Je n'ai pour l'instant voyagé qu'en France mais les cavaliers au long cours m'ont confirmé que nous ne sommes pas une exception sur ce point, loin de là. Je pense aussi que ça dépend de l'attitude que l'on montre, se présenter à cheval ou à pied en fonction du moment et du "public", avec une tenue propre et simple, un beau sourire et une attitude positive est un bon début. Savoir se présenter brièvement, expliquer pourquoi on est là et ce qu'on veut en 2 phrases, de préférence dans la bonne langue et c'est tout bon

A pied, on peut se permettre de s'arrêter quand on veut puisqu'on peut porter notre eau, et l'image du bivouac sauvage au milieu de la pampa est possible.
Quand on a un cheval, les points de bivouac sont dictés par les points d'eau puisqu'on ne peut pas la lui transporter, on peut être au milieu de rien, mais il faut de l'eau.

Lynette

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Posté le 03/04/2020 à 12h40

mraaw OK !
Ça fait rêver...
Je ne pensais pas que tu faisais automatiquement tes haltes "chez l'habitant" d'où ma question concernant les douches...

Mraaw

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Posté le 03/04/2020 à 12h48

lynette C'est un choix de voyage, moi je voyage comme ça, puis on va plus vite quand on ne rencontre personne, la distance se couvre en moins de temps, donc la proportion de voyage "sauvage" est plus faible. J'étais pour l'instant dans des voyages sans dates, seuls impératifs de fin : l'hiver et le froid. (Ce qui finalement n'est jamais arrivé en 2019...)
Donc plutôt orienté rencontres, populations, échanges, visites, que vitesse et performance.
Pour la douche effectivement sur un type de voyage différent, l'approche en serait sûrement différente. Bien que pas tant que ça en France je pense, on est "trop urbanisés" donc pas (peu) d'endroits sans habitation/douche

Lynette

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Posté le 03/04/2020 à 13h48

mraaw j'aimerai beaucoup le faire aussi mais étant en couple avec un "'non cavalier", pas facile de partir ainsi en vacances toute seule...

Spiritdancer

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Posté le 03/04/2020 à 13h59

Je rebondis là dessus :


Citation :
Qui court pour perdre ? Finir c'est gagné, mais qui vise la dernière place ?


À peu près tout le monde en CEI, j’ai envie de dire, en caricaturant à peine !
Sur les grosses épreuves, c’est toujours au moins 50% d’éliminés. Alors quand on finit et que le contrôle véto est ok, même dernier, on est vraiment heureux ! Le cheval l’a fait, on l’a fait et c’est vraiment l’essentiel.

Flakiss

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Posté le 03/04/2020 à 14h07

spiritdancer Tout à fait d'accord ! Et même, il faut être réaliste à un moment... En CEI, amateurs confirmés et véritables pros courent dans la même épreuve, avec le même classement... Alors que l'un peut entraîner son cheval tous les jours car c'est son métier avec des équipements de professionnels (marcheur, tapis...), l'autre entraîne quand il peut, avec les moyens du bord... Sans même parler de la qualité intrinsèque du cheval lui même... Même si les pros n'ont pas que des bons chevaux, ils en ont quand même... La moitié des cavaliers qui courent en CEI savent avant même le départ qu'ils ne mettront pas le pied sur le podium... Donc oui, on court presque tous pour perdre au final...

Mon rêve est de finir Florac ou Montcuq un jour, avec mon cheval, et je te dis que même en 13h (soit 12km/h), je serai la plus heureuse du monde ! Et même que je verserai ma petite larme au contrôle final !

Craboulotte

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Posté le 03/04/2020 à 14h15

J'ai rien à apporter à vos discussions mais ça m'intéresse et occupe bien mon confinement (en fait je m'ennuie nettement moins que je le craignais, déjà je bosse, ensuite j'ai 1000 trucs à faire... Et puis finalement je suis pas toute seule, un petit chat m'a rejointe lundi, direct de la SPA )! mraaw , impressionnant, on pourra suivre ton voyage quelque part?

Mraaw

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Posté le 03/04/2020 à 14h29

spiritdancer Ne pas viser le podium c'est quelque chose, mais il y a un minimum, on n'engage pas sans un cheval et un cavalier apte à finir, on ne cherche pas l'élimination, elles sont nombreuses et c'est pas plus mal d'arrêter rapidement lorsqu'il y a un problème, je suis bien d'accord là dessus.
Qu'on court en 12 ou en 20km/h, on ne se dit pas "oh tiens, si j'étais dernier aujourd'hui ?"
Selon moi, il s'agit d'être réaliste sur les capacités de chacun, de faire la course pour soi et non pour le classement (et cela devrait être le cas dans toutes les disciplines), mais non, je ne pense pas qu'on choisisse d'être dernier juste pour être dernier, ne vaut il mieux pas un bon cheval classé voir gagnant sur un certain niveau qu'un moyen à mauvais (ou plutôt en difficulté) sur le niveau supérieur ?

craboulotte Si je le fais, et je fais tout pour, ce sera dans quelques années. Mais pour réaliser un tel projet et avec les zones instables politiquement, la couverture médiatique est une sécurité. (= une étrangère seule qui arrive de Russie avec un étalon ayant une certaine valeur, en passant par l'Ukraine ou Turquie...). J'ai déjà une page Facebook, et un post sur CA sur lequel je n'ai plus posté depuis longtemps, je commence doucement à constituer une communication fiable et simple pour être crédible lorsque je présenterai un tel projets aux autorités (Russie-France-pays traversés)

Grabalpi

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Posté le 03/04/2020 à 14h35

Pour continuer sur le classement, c'est clair que lorsque je m'engageais sur les courses du coin ou ma copine, à regarder les partants je savais déjà comment allait se dérouler la course, qui courrait en tête et qui serait là pour simplement qualifier des chevaux. Dans les 2 cas y a des pros et amateurs "trés éclairés". C'est un peu le problème sur les courses "locales" même internationales. Sur ma dernière VL, je voulais pas aller avec les cavaliers que je savais briguer la tête et je me suis retrouvée avec de jeunes chevaux courant à moins de 16km/h pour la qualif'. Entre les chutes, les déferrages, les éliminations je me suis vite retrouvée seule...

Le classement en endurance m'a toujours un peu frustrée car comme dit, on n'a pas tous la "chance" d'avoir un piquet de chevaux et de courir quand bon nous semble. On fait comme on peut et lorsqu'on est classé, c'est bien mais la remise des prix n'est pas toujours à la hauteur ! Pour notre dernière course ok on termine 8ème sur 9 classés et 12 partants, ben rien, pas un seau ni un cure-pied ni même une plaque car oubliées par les organisateurs...c'est quand même une VL ! Les 1ers avaient de l'argent/bon d'achat je sais plus, le 1er une coupe mais rien de plus.

Craboulotte

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Posté le 03/04/2020 à 14h40

mraaw Du coup c'est quoi ta page Facebook?

Pour les courses, je comprends ton point de vue, je comprends aussi celui des filles. Je pense que ça dépend de l'objectif. Quand c'est d'aller faire des "grosses" courses, le but est surtout de se qualifier et de finir. Avec ma vieille jument j'ai fait une petite saison sur 20 kms, sans vouloir faire plus, bon ben là effectivement j'y allais pour gagner, quitte à faire plusieurs fois la "même" course, on joue la gagne. J'ai quelques connaissances dans cette optique, mais pour la très grande majorité, c'est le 1er cas (et je vais y passer d'ailleurs, si on arrive un jour à refaire une course, avec la jument que je monte actuellement).

Ah et je pense que les concours annulés même au delà de la période de confinement, c'est aussi pour éviter que certains n'engagent des chevaux qui n'ont pas été montés/travaillés pendant 1 ou 2 mois. C'est du bon sens, mais c'est obligé que dans certains cas (je parle pas de l'endurance en particulier) la pêche aux qualifs sera plus importante que la remise en route du cheval... Et, je pense pas que ça soit la raison principale, mais j'avoue que ça rétablit un peu d'équité entre ceux qui ont leurs chevaux chez eux et les autres. Parce que sinon c'est double peine, pour ceux qui ont leur chevaux dans une écurie: Pas de contact avec leur cheval et en plus à la reprise, ils ont des semaines de remise en route là où d'autres peuvent ressortir dès la levée du confinement...

Juliam

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Posté le 03/04/2020 à 15h08

En général quand on prend le départ , on a un objectif ... soit on essaye de qualifier, pour avoir accès au niveau supérieur donc peu importe la place , soit on avance , et qui dit vitesse dit multiplication des risques ..

Estimez vous heureux d'avoir une petite remise des prix sur les " petites " courses , ici en Espagne , on a gagné .. une qualif et c'est tout. Et les engagements sont plus chers il me semble.

Je suis pro et mon rêve flakiss c'est également de finir la 160 de Florac !
Montcuq j'essuie deux éliminations difficiles à digérer (je ne m'étale pas dessus sinon je vais râler , et franchement , c'est juste le mythe de la course ... les paysages ne sont pas exceptionnels , les trottings vont contre les chevaux ... les pistes sont mauvaises ...

Édité par juliam le 03-04-2020 à 15h14



Mraaw

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Posté le 03/04/2020 à 15h10

grabalpi Le classement est très frustrant, c'est un peu le cas dans la majorité des disciplines j'ai l'impression... Je sortais en CSO surtout, là aussi, il y a de quoi se mordre les doigts!


craboulotte Effectivement, ça dépend du niveau et de l'état d'esprit du cavalier et du niveau. Certains se font plaisir sur 20-40, d'autres sur 120!
Je pense que je serais plutôt du genre à monter en épreuves tranquillement, simplement en qualification jusqu'au niveau maximum du cheval où je chercherai l'optimisation des capacités pour jouer la victoire/le classement sur ce niveau. Quitte à redescendre si c'était trop!

Edit : FB Sauvageons en vadrouille

Édité par mraaw le 03-04-2020 à 15h11



Grabalpi

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Posté le 03/04/2020 à 15h16

Etre champion des 60KM n'apportera pas grand chose à la valorisation de la race en France ou à un étalon pour vendre des saillies. Après se faire plaisir personnellement sur les plus petites distances c'est autre chose .

Flakiss

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Posté le 03/04/2020 à 15h57

juliam Tu as sûrement plus de chances que moi de réaliser ce rêve

Je pars du principe que tous les rêves ne sont pas faits pour être réalisés, juste pour donner un point de mire. Si on y arrive, tant mieux, ce sera le plus beau jour de ma vie ! Si on n'y arrive pas (parce que je n'ai pas le niveau pour nous emmener à se niveau, parce qu'il n'en a pas les capacités ou l'envie, parce que X ou Y raison...), et bien tant pis, on aura essayé, et on s'éclatera sur d'autres épreuves ou d'autres disciplines
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