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merci beaucoup !
). Alors manger parce que je me sens mal, c’est vraiment le serpent qui se mord la queue et on sait plus par quel bout le prendre
pour l’instant je veux juste survivre aux 3 mois et demi/4 mois à venir. Après ça j’arrête de bosser (donc plus de contraintes d’horaires, plus de journées entières dans le mal parce que je m’ennuie ou qu’un collègue m’emmerde, moins de stress), puis je change de pays (encore - sachant que mal de choses sont compliquées aussi en ce moment à cause des spécificités de là où je vis. C’est un pays avec pleins d’avantages, mais là je commence à bien saturer). La NZ m’avait bien réussi la première fois, je croise les doigts pour que ce soit pareil ce coup ci !
et peut être que je peux convaincre mon cerveau que des pop corns ou des carottes trempées dans de la crème ça vaut une tablette de chocolat. Ou que de faire un gâteau vaut mieux que de faire mon Taz dans le frigo. Peut être ^^
je manque très certainement de fer, le magnésium on m’en a encore jamais parlé !
vu ma chance, avec les plaques au gaz, je vais réussir à foutre le feu à la cuisine ^^

?
mais oui comme tu le dis, y a un moment où c’est juste pas possible quoi… je peux peut être jouer sur la frontière très fine entre « avoir envie de manger pour s’occuper » et « là je me sens mal je veux BOUFFER ». Je pense que dans le second cas c’est mort pour toucher à autre chose que du chocolat, mais dans le premier ça peut se tenter. Disons que si j’ai l’option à dispo, je peux la considérer, et si le cerveau dit « non là ça va pas moi je veux du chocolaaaaaat », et bah tant pis. Mais je suis aussi coutumière du « manger pour s’occuper », donc là ça peut avoir du sens.