manana a écrit le 01/03/2016 à 15h47:
Mmm en fait ton homme et sa fille n ont pas eu le meme pb ce soir la.
Pour lui le soucis a ete le mensonge. Pour elle, autre chose.
Sa reponse "mal au ventre" a ete une defense car elle ne voulait pas manger ce plat (c est la qu il aurait ete plus interessant de savoir pourquoi plutot que de l obliger d en manger la moitie, a quoi cela servait il?)
Peut etre que ce n etait pas a son gout tout simplement...
Enfin je sais pas pour vous mais cela m arrive de ne pas finir le plat mais de prendre un dessert ^^
Elle a sorti le mal au ventre car elle voyait que cette façôn pour qu on l ecoute et ne l oblige pas a manger je pense...
Du coup "c est pas bien de mentir" ne fait qu envenimer les choses....
Apres je sais que ca fait genre laxiste ou tout ce que tu veux mais ce n est pas le cas.
Disons qu avec la bienveillance et l ecoute active, tu arrives bien plus facilement a terme a gagner le respect de regles, de toi, etc.
Et la petite se sentira mieux egalement.
C est tres difficile a mettre en place et je conçois qu on en doute, mais votre situation etant bloquee et votre façon de faire ne fonctionnant pas, ça merite bien d essayer non?
Je pense que de toute façon, on peut tout tenter maintenant !!!!
Le problème c'est qu'on ne peut pas changer quelqu'un et ses principes du jour au lendemain. Des fois, on se pense juste et on croit que ce qu'on fait avec elle est normal et logique, mais je suis d'accord qu'on doit sans doute se planter et faire mal certaines choses.
On a essayé d'être un peu plus "cool", genre, allez c'est pas grave, t'as pas faim ? Bah tu vas pas te laisser mourrir de faim, mange pas pis c'est tout, tu mangera mieux demain.
Sur certains trucs on est intransigeants parfois et même si c'est pour éviter d'avoir à "encore" nous prendre la tête pour un oui ou pour un non, on passe dessus, on se dit tant pis, j'en ai marre de râler.
Mais pour avoir déjà eu une approche similaire, on en a pas vraiment tirer de résultats positifs parce que derrière, quand on passait sur un truc genre les repas et les chamailleries, bah au bout du compte, elle en abusait. Ca devenait monnaie courante, à tout va on mangeait plus rien, on avait jamais faim par contre 2 minutes après on demandait à grignoter des M&M's ! Enfin ce genre de choses, bon, on a quand même des principes, là c'était pas possible...
En gros, on lui accordait se répis et derrière elle en profitait pour en abuser.
Ce n'est pas exactement ce que tu dis, là j'estime que ce qu'il nous est arrivé de faire on peut carrément le qualifier de laxisme mais pour avoir tenté un genre d'approche similaire on a pas été convaincu du résultat...
Après, c'est pas exactement la méthode que tu nous conseille mais pourquoi pas essayer oui...
Ce qu'il y a c'est que des fois c'est instantané, soudain, on réagit comme ça, sur l'instant, on réfléchi qu'après...