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Entre les méthodes Française et Allemande: Il n'y a qu'une différence majeure: la bonne et la mauvaise équitation. Pourquoi la France n'a-t-elle pas beaucoup de cavalier sur les grands tours internationale? Peut-être que la différence dont il faut s'occuper est là. Le système d'éducation est très bon en Allemagne. La notion du contact est différente. En Allemagne, le contact est en avant, sur une ligne droite, vers le mort. Vous avez les postérieurs, donc le dis, donc un bon contact avec un cheval qui mâche son mort. Les Français ont plus la relaxation de la mâchoire, la nuque. Mais la meilleure est bien sûr entre les deux. Les français travaillent tout de suite sur l'avant-main et pensent ensuite aux postérieurs? d'abord la position et puis la marche en avant. en Allemagne, d'abord le mouvement en avant, la souplesse et enfin, ce qui suit, tout le reste (c'est ce qu'illustre la pyramide d'entraînement allemande). En Allemagne, la position découle du mouvement, alors qu'en France, selon moi, c'est plutot linverse. |
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Je crois aussi que s'il y a tant de différences entre les résultats allemands et français c'est aussi une question de "culture". Il y a des gens en France qui travaillent dans le mouvement et la décontraction sans utiliser le rollkür mais en tendant vers le bas et rond.
en France, quand tu vas dans un club, tu as toutes les chances de faire avant tout du CSO, ou du CCE. A la limite tu fais du plat. Dans certains club, on appelle ça, l'école des aides. En bref: tu as des tonnes de club où tu n'as pas un cheval de dressage décent, capable de faire sentir à un cavalier bien aiguillé ce que c'est qu'un trot rassemblé ou un vrai galop de travail. Combien de chevaux connaissez-vous dans vos clubs capables d'exécuter un appuyer? A la limite, c'est preque les chevaux les plus blasés qu'on met aux cavaliers pour faire du dressage. Résultat: aucun plaisir.
Je ne sais pas comment ça marche en Allemagne, mais à mon avis, ça ne fonctionne pas ainsi, et chaque gamin fait du dressage, nolens volens. Il suffit de regarder Marcus Ehning monter, et on comprend.