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Peut être mais pensez vous vraiment drainer cette argent aux riches ? Économiquement c'est pas possible ! Ca pleut pas des riches en France !! Et c'est paseu qui pourront supporter le poids financier de la formation des futurs moniteurs... Dire aux pauvres (enfin a ceux qui ne peuvent pas se payer un cheval et plusieurs cours particuliers par semaine) de faire du tourisme ca revient a refuser plus de la moitié des clients..
La FFE démocratise essaye tant bien que mal de médiatiser (ffetv), elle est entrain de reformer mais Rome ne c'est pas fait en un jour ! |
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je ne parle ni de riches, ni de pauvres. pour info, l'equitation francaise est moins mediatisé qu'avant et a perdu il y a plus de 15 ans, ses plus gros sponsors. la ffe a voulu faire du nombre et explose tout les ans depuis plusieurs années le nombre de licenciés. donc il a fallut former des mono en masse pour repondre a la demande, le salaire du moniteur aujourd'hui? le smic! ça n'a pas toujours été ainsi.
la masse n'a pas fait la qualité ni l'attractivité du metier.
vous parlez du client mais le professionnel de la filiere enseignante? tout a été tiré vers le bas, comment voulez vous aligner en face de ça une qualité des cours?
une cavalerie digne de ce nom, des installations correctes ça coute tres cher.
pourquoi croyez vous que des CE ferment ou se retrouvent endettés alors qu'il y a plus de licenciés? c'est logique?
a votre avis, a quel prix s'est faite la démocratisation de l'equitation? au prix du chomage, de depots de bilan et de chevaux de reformes.
je trouve ça assez triste comme concept.
ça n'a rien de glorieux ni de productif. je dis pas qu'il faille réserver l'equitation a une elite sociale a tout prix, juste qu'un tel loisir se paye et devrait se payer a son juste prix, celui ou la filiere peut en vivre décemment et ceci engendrerait plus de tri dans les structures et les enseignents, donc plus de qualité globale.
on parle du niveau des moniteurs, mais c'est plus que ça.
y a des incapables qui sortent de cessions de bpjeps, la sécurité des enfants et la qualité des soins et du travail de la cavalerie, des infrastructures, est ebranlée.